La déambulation prend ses quartiers au village de Jazzablanca, installé depuis l’an passé à Anfa Park. On y croit avec force et détermination. Pourtant, le son qui accompagne la première partie du grand jet de la scène principale est aussi mitigé que la prestation d’une formation française dite La Femme, antérieurement mise en avant par le magazine hexagonal Les Inrocks.
Le groupe essaie de séduire. Quant au parterre casablancais, il bouge, sautillant et donnant des claques à l’air opaque en ce début d’été. S’impose ensuite une fine pause à l’attente rugueuse. Nile Rodgers du légendaire groupe Chic est là, au rendez-vous, bien avant l’heure prévue. Ce faiseur de hits, père de succès planétaires aussi bien en compositions qu’en productions, enflamme d’entrée l’assistance en déboulant son historique « Le Freak » paru en 1978. Suivent « I Want Your Love » et autres élaborations que l’histoire soul-disco-funk-pop ne peut ignorer, « Good Times » et « I Want Your Love » en tête. S’invitent ensuite ses bouleversantes créations pour Sister Sledge (« We are Family »), Madonna (« Like a Virgin »), David Bowie (« Let’s Dance »), Duran Duran (« Notorious ») …
La liste qualifiant ce génie reste ouverte et respectueuse. Rodgers claque la bise à un public jeune qui ne le connait que vaguement, face à des nostalgiques inconsolables. Jugeons : « Je ne le connais pas mais c’est tellement entrainant ! C’est mon père qui m’en a parlé. C’est top. », « Notre époque est irremplaçable. Je vois aussi des moins de 20 ans se déhancher. Ça fait plaisir. Il faut juste les briefer sur le mec. », « Ce n’est pas mon truc … Mais ça groove grave. », « C’est toute mon adolescence qui remonte. J’aimerais que les années disco reviennent ! » … Une soirée à graver dans le dur. La communion est parfaite pour une programmation qui promet d’autres frissons, avec Aloe Blacc et Beth Hart ce soir. A demain.
Le groupe essaie de séduire. Quant au parterre casablancais, il bouge, sautillant et donnant des claques à l’air opaque en ce début d’été. S’impose ensuite une fine pause à l’attente rugueuse. Nile Rodgers du légendaire groupe Chic est là, au rendez-vous, bien avant l’heure prévue. Ce faiseur de hits, père de succès planétaires aussi bien en compositions qu’en productions, enflamme d’entrée l’assistance en déboulant son historique « Le Freak » paru en 1978. Suivent « I Want Your Love » et autres élaborations que l’histoire soul-disco-funk-pop ne peut ignorer, « Good Times » et « I Want Your Love » en tête. S’invitent ensuite ses bouleversantes créations pour Sister Sledge (« We are Family »), Madonna (« Like a Virgin »), David Bowie (« Let’s Dance »), Duran Duran (« Notorious ») …
La liste qualifiant ce génie reste ouverte et respectueuse. Rodgers claque la bise à un public jeune qui ne le connait que vaguement, face à des nostalgiques inconsolables. Jugeons : « Je ne le connais pas mais c’est tellement entrainant ! C’est mon père qui m’en a parlé. C’est top. », « Notre époque est irremplaçable. Je vois aussi des moins de 20 ans se déhancher. Ça fait plaisir. Il faut juste les briefer sur le mec. », « Ce n’est pas mon truc … Mais ça groove grave. », « C’est toute mon adolescence qui remonte. J’aimerais que les années disco reviennent ! » … Une soirée à graver dans le dur. La communion est parfaite pour une programmation qui promet d’autres frissons, avec Aloe Blacc et Beth Hart ce soir. A demain.
