Placée sous le thème de la "vigilance", cette journée vise à renforcer le rôle du sport dans la diffusion des nobles valeurs humaines et la promotion de la paix et du développement dans les quatre coins du monde, a fortiori dans les régions les plus touchées par les conflits, les guerres et les épidémies.
Cette "vigilance" se manifeste dans les innombrables initiatives lancées dans les milieux sportifs au Maroc et dans le monde.
Grâce à son fort impact, le sport a progressivement été reconnu et utilisé comme un outil de l’aide humanitaire, du développement et de la consolidation de la paix dans toutes les régions du monde, notamment les plus reculées, soit un investissement important dans le présent et l’avenir à travers des projets court-termistes comme les aides humanitaires et des projets à long terme visant la réintégration des enfants et des jeunes touchés par la délinquance et la violence.
Pour les sociétés modernes, le sport n’est plus considéré comme un luxe mais une nécessité fondamentale qui concerne à la fois la santé, l’éducation, la cohésion sociale, l’économie, la diplomatie et le dialogue interculturel.
Ainsi, le 6 avril a été proclamé "Journée mondiale du sport", sur proposition du Royaume du Maroc, qui confirme son rôle pionnier et son engagement en faveur de la promotion de la paix, de l’humanisme et du développement durable au niveau mondial.
Le 22 mai 2011, lors du 2ème Forum international tenu au Palais des Nations à Genève entre l'ex-présidents du Comité international olympique (CIO), Jacques Rogge et l'ex-Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Ban Ki-Moon, le représentant du Comité national olympique marocain (CNOM), Kamal Lahlou, a proposé à l’assistance la célébration d’une journée internationale du sport pour sensibiliser les gouvernements set les responsables politiques à travers le monde que le sport est devenu un droit à l’instar de l’éducation, de la santé, etc.
Cette proposition a été très bien accueillie et deux ans plus tard, plus précisément le 23 août 2013, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 6 avril Journée mondiale du sport au service du développement et de la paix, établissant ainsi un lien historique avec la date d’ouverture des premiers Jeux Olympiques en 1896.
La proclamation de cette journée vise à célébrer la contribution du sport et de l’activité physique à l’éducation, au développement humain, à l’adoption de modes de vie sains et à l’édification d’un monde pacifique.
Dans ce sens, le vice-président du CNOM, membre de la Commission Marketing du CIO et membre du comité exécutif de l’Association des Comités Nationaux Olympiques d’Afrique, Kamal Lahlou, a indiqué dans une déclaration à la MAP, que "le plus important ce n’est pas d’être l’initiateur de cette journée, uniquement, mais de l’utiliser pour des politiques publiques assurant le droit de tous à la pratique du sport".
"Les valeurs de l’olympisme sont d’une actualité brûlante", a estimé le vice-président du CNOM, précisant que, comme le reste des activités humaines, l’olympisme va connaître un changement.
"D’ailleurs, Thomas Bach, qui vient d’être réélu pour un dernier mandat à la tête du CIO, a commencé à revoir les fondamentaux de l’olympisme et démontre aujourd’hui qu’il est l’homme capable de reconfigurer l’idéal olympique auquel nous tenons tous", a-t-il conclu.
Cette "vigilance" se manifeste dans les innombrables initiatives lancées dans les milieux sportifs au Maroc et dans le monde.
Grâce à son fort impact, le sport a progressivement été reconnu et utilisé comme un outil de l’aide humanitaire, du développement et de la consolidation de la paix dans toutes les régions du monde, notamment les plus reculées, soit un investissement important dans le présent et l’avenir à travers des projets court-termistes comme les aides humanitaires et des projets à long terme visant la réintégration des enfants et des jeunes touchés par la délinquance et la violence.
Pour les sociétés modernes, le sport n’est plus considéré comme un luxe mais une nécessité fondamentale qui concerne à la fois la santé, l’éducation, la cohésion sociale, l’économie, la diplomatie et le dialogue interculturel.
Ainsi, le 6 avril a été proclamé "Journée mondiale du sport", sur proposition du Royaume du Maroc, qui confirme son rôle pionnier et son engagement en faveur de la promotion de la paix, de l’humanisme et du développement durable au niveau mondial.
Le 22 mai 2011, lors du 2ème Forum international tenu au Palais des Nations à Genève entre l'ex-présidents du Comité international olympique (CIO), Jacques Rogge et l'ex-Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Ban Ki-Moon, le représentant du Comité national olympique marocain (CNOM), Kamal Lahlou, a proposé à l’assistance la célébration d’une journée internationale du sport pour sensibiliser les gouvernements set les responsables politiques à travers le monde que le sport est devenu un droit à l’instar de l’éducation, de la santé, etc.
Cette proposition a été très bien accueillie et deux ans plus tard, plus précisément le 23 août 2013, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 6 avril Journée mondiale du sport au service du développement et de la paix, établissant ainsi un lien historique avec la date d’ouverture des premiers Jeux Olympiques en 1896.
La proclamation de cette journée vise à célébrer la contribution du sport et de l’activité physique à l’éducation, au développement humain, à l’adoption de modes de vie sains et à l’édification d’un monde pacifique.
Dans ce sens, le vice-président du CNOM, membre de la Commission Marketing du CIO et membre du comité exécutif de l’Association des Comités Nationaux Olympiques d’Afrique, Kamal Lahlou, a indiqué dans une déclaration à la MAP, que "le plus important ce n’est pas d’être l’initiateur de cette journée, uniquement, mais de l’utiliser pour des politiques publiques assurant le droit de tous à la pratique du sport".
"Les valeurs de l’olympisme sont d’une actualité brûlante", a estimé le vice-président du CNOM, précisant que, comme le reste des activités humaines, l’olympisme va connaître un changement.
"D’ailleurs, Thomas Bach, qui vient d’être réélu pour un dernier mandat à la tête du CIO, a commencé à revoir les fondamentaux de l’olympisme et démontre aujourd’hui qu’il est l’homme capable de reconfigurer l’idéal olympique auquel nous tenons tous", a-t-il conclu.