Les syndicats de la Justice expriment leur exaspération face au manque de réponses adéquates du gouvernement à leurs revendications. Conséquences : ils entamant une nouvelle grève qui devrait paralyser les tribunaux pendant six jours. Les militants seraient en débrayage les 9, 10 et 11 juillet. Du 16 au 18 juillet, une deuxième grève nationale de trois jours prolongera les actions de protestation, visant à maintenir la pression sur le gouvernement.
Ils critiquent notamment la non-application des accords antérieurs et revendiquent la mise en œuvre du statut particulier du corps du secrétariat-greffe.
Dans le même sillage de protestation, le Syndicat démocratique de la justice, affilié à la CDT, annonce, de son côté, une grève nationale dans tous les tribunaux, centres judiciaires, sous-Directions et centres d’archivage, ainsi qu’un sit-in pendant trois jours, à partir de ce même mardi, et une deuxième grève pour la même période, à partir du 23 juillet.
Ladite centrale justifie cette grève par l’inclusion du secteur de la Justice dans le dernier Conseil de gouvernement dans le cadre des résultats du dialogue central, contrairement à ce qui a été précédemment convenu et engagé par l’Exécutif pour poursuivre le dialogue, concernant les dossiers en suspens, dont celui du secteur de la Justice.
Ils critiquent notamment la non-application des accords antérieurs et revendiquent la mise en œuvre du statut particulier du corps du secrétariat-greffe.
Dans le même sillage de protestation, le Syndicat démocratique de la justice, affilié à la CDT, annonce, de son côté, une grève nationale dans tous les tribunaux, centres judiciaires, sous-Directions et centres d’archivage, ainsi qu’un sit-in pendant trois jours, à partir de ce même mardi, et une deuxième grève pour la même période, à partir du 23 juillet.
Ladite centrale justifie cette grève par l’inclusion du secteur de la Justice dans le dernier Conseil de gouvernement dans le cadre des résultats du dialogue central, contrairement à ce qui a été précédemment convenu et engagé par l’Exécutif pour poursuivre le dialogue, concernant les dossiers en suspens, dont celui du secteur de la Justice.