Dans un communiqué, l'ANEF indique que plusieurs infractions graves à la législation sur la chasse et la faune sauvage ont été constatées, du 12 au 22 septembre, dans différentes régions, ce qui témoigne de l’ampleur de ce phénomène.
Ainsi, à Safi, un braconnier a été surpris en flagrant délit de chasse en période de fermeture, le 12 septembre dans la zone de Youssoufia, précise l'agence, notant que lors de l’intervention des agents forestiers, une arme de chasse de type prohibé a été saisie et un procès-verbal a été dressé.
A Taounate, deux infractions distinctes ont été signalées le 19 septembre dans la forêt du Moyen Ourgha, lorsqu'un contrôle routier a permis d’intercepter deux individus en possession de 9 perdreaux et 7 palombes, capturés en période de fermeture avec des moyens illégaux. Dans une autre affaire, sur un terrain privé dans une amodiation de chasse à Tafrante, un braconnier utilisant un chien Slougui a agressé les agents forestiers après avoir été surpris en pleine infraction, poursuit le communiqué, indiquant que le chien a été saisi et que l’enquête est en cours.
De même, une chasse illégale en réserve permanente avec des moyens prohibés a également été rapportée à Zaio (région de l'Oriental) le 21 septembre. Un pigeon colombin a été capturé illégalement, et l’arme utilisée a été saisie.
A Taroudant (Souss-Massa), une infraction de chasse et détention d’une gazelle de Cuvier, espèce protégée, a été constatée après intervention rapide des agents forestiers dans la région d’Ighrem le 22 septembre, selon le communiqué. Deux ressortissants étrangers et un citoyen marocain ont été identifiés, tandis que l’arme de chasse, le véhicule et d’autres moyens illégaux ont été saisis.
Ces opérations, parmi d’autres, illustrent la vigilance accrue de l’ANEF et l’intensification des efforts pour lutter contre les actes de braconnage à l’approche de l’ouverture de la saison de chasse, ajoute-t-on de même source, rappelant que ces infractions représentent non seulement une menace pour la biodiversité, mais qu’elles peuvent également constituer un danger pour le personnel forestier. En effet, le 19 septembre, un braconnier a tenté de s’infiltrer dans une réserve de gazelles à Safi et a tiré en direction d’un gardien avant de prendre la fuite.
Pour ces infractions, les sanctions encourues varient selon la gravité des délits, explique l'ANEF, précisant que les contrevenants risquent des amendes allant de 8.000 DH à 100.000 DH, avec, dans les cas les plus sérieux, des peines d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 6 mois.
Ces mesures, rappelle l'agence, visent à dissuader toute récidive et à garantir la protection du patrimoine naturel, déplorant que, chaque année, environ 300 actes de braconnage sont recensés à travers le pays.
L'ANEF a, à cet égard, fait part de son engagement à poursuivre sans relâche les contrevenants, en collaboration avec les autorités locales et la gendarmerie royale, et à prendre toutes les mesures nécessaires pour faire respecter la loi et protéger les ressources naturelles du Royaume.
De ce fait, l’ANEF invite tous les citoyens à s’engager activement dans la protection de la faune et des écosystèmes en respectant la législation en vigueur et rappelle que des "sanctions sévères" seront appliquées à l’encontre de tout contrevenant.
Ainsi, à Safi, un braconnier a été surpris en flagrant délit de chasse en période de fermeture, le 12 septembre dans la zone de Youssoufia, précise l'agence, notant que lors de l’intervention des agents forestiers, une arme de chasse de type prohibé a été saisie et un procès-verbal a été dressé.
A Taounate, deux infractions distinctes ont été signalées le 19 septembre dans la forêt du Moyen Ourgha, lorsqu'un contrôle routier a permis d’intercepter deux individus en possession de 9 perdreaux et 7 palombes, capturés en période de fermeture avec des moyens illégaux. Dans une autre affaire, sur un terrain privé dans une amodiation de chasse à Tafrante, un braconnier utilisant un chien Slougui a agressé les agents forestiers après avoir été surpris en pleine infraction, poursuit le communiqué, indiquant que le chien a été saisi et que l’enquête est en cours.
De même, une chasse illégale en réserve permanente avec des moyens prohibés a également été rapportée à Zaio (région de l'Oriental) le 21 septembre. Un pigeon colombin a été capturé illégalement, et l’arme utilisée a été saisie.
A Taroudant (Souss-Massa), une infraction de chasse et détention d’une gazelle de Cuvier, espèce protégée, a été constatée après intervention rapide des agents forestiers dans la région d’Ighrem le 22 septembre, selon le communiqué. Deux ressortissants étrangers et un citoyen marocain ont été identifiés, tandis que l’arme de chasse, le véhicule et d’autres moyens illégaux ont été saisis.
Ces opérations, parmi d’autres, illustrent la vigilance accrue de l’ANEF et l’intensification des efforts pour lutter contre les actes de braconnage à l’approche de l’ouverture de la saison de chasse, ajoute-t-on de même source, rappelant que ces infractions représentent non seulement une menace pour la biodiversité, mais qu’elles peuvent également constituer un danger pour le personnel forestier. En effet, le 19 septembre, un braconnier a tenté de s’infiltrer dans une réserve de gazelles à Safi et a tiré en direction d’un gardien avant de prendre la fuite.
Pour ces infractions, les sanctions encourues varient selon la gravité des délits, explique l'ANEF, précisant que les contrevenants risquent des amendes allant de 8.000 DH à 100.000 DH, avec, dans les cas les plus sérieux, des peines d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 6 mois.
Ces mesures, rappelle l'agence, visent à dissuader toute récidive et à garantir la protection du patrimoine naturel, déplorant que, chaque année, environ 300 actes de braconnage sont recensés à travers le pays.
L'ANEF a, à cet égard, fait part de son engagement à poursuivre sans relâche les contrevenants, en collaboration avec les autorités locales et la gendarmerie royale, et à prendre toutes les mesures nécessaires pour faire respecter la loi et protéger les ressources naturelles du Royaume.
De ce fait, l’ANEF invite tous les citoyens à s’engager activement dans la protection de la faune et des écosystèmes en respectant la législation en vigueur et rappelle que des "sanctions sévères" seront appliquées à l’encontre de tout contrevenant.