Cette décision s’inscrit dans une démarche globale visant à harmoniser les coûts d’accès au réseau sur l’ensemble du territoire national. L’ANRE met en avant l’importance d’un tarif unique, qui apporte plus de clarté et de prévisibilité aux acteurs du secteur, notamment dans le cadre de la mise en place progressive des Sociétés régionales multiservices (SRM). Ces entités, destinées à optimiser la gestion du réseau de distribution, bénéficient ainsi d’une grille tarifaire simplifiée qui facilite leur structuration et leur déploiement opérationnel.
Le choix d’une période tarifaire de deux ans repose sur des considérations stratégiques. L’ANRE prévoit une révision conjointe de ce tarif avec celui de l’utilisation du réseau de transport électrique, dont la première période tarifaire s’achèvera début 2027. Cette synchronisation vise à garantir une cohérence entre les différentes composantes du système électrique, tout en facilitant l’intégration des énergies renouvelables et en optimisant les coûts pour les consommateurs.
Outre son impact sur la transparence et l’équité des coûts d’accès au réseau, la fixation du TURD constitue un signal fort pour les investisseurs. En offrant une meilleure visibilité sur la tarification, cette mesure est susceptible de stimuler les investissements dans le secteur de l’énergie, notamment en matière d’énergies renouvelables et d’efficacité énergétique.
Cette réforme intervient également à un moment stratégique pour l’économie marocaine. Avec l’entrée en vigueur de la taxe carbone prévue en 2026, la compétitivité des entreprises dépendra en grande partie de leur capacité à s’appuyer sur une énergie propre et abordable. La clarification du cadre tarifaire permet ainsi d’accélérer la décarbonation du tissu industriel, en encourageant une utilisation plus rationnelle de l’électricité et en facilitant l’accès aux sources d’énergie bas carbone.
L’ANRE souligne que l’établissement du TURD résulte d’un processus de concertation approfondi, impliquant l’ensemble des parties prenantes du secteur électrique national. En plus des échanges directs avec les acteurs du marché, une consultation publique a été menée via le site Internet de l’Agence, permettant à l’ensemble des citoyens et entreprises d’exprimer leurs observations.
L’objectif affiché par l’ANRE est de rendre la tarification plus transparente et plus lisible pour l’ensemble des consommateurs, tout en garantissant une répartition équitable des coûts liés à l’utilisation du réseau de distribution moyenne tension. Cette approche vise à assurer que chaque utilisateur contribue de manière proportionnée aux charges d’exploitation et de maintenance du réseau, sans distorsion ni disparité régionale.
En parallèle à la fixation du TURD, l’ANRE a également procédé à l’ajustement du tarif d’utilisation du réseau électrique national de transport (TURT), conformément à la décision n°02/24 du 5 février 2024. Ce tarif a été fixé à 6,68 centimes par kilowattheure à compter du 1er mars 2025. Par ailleurs, la rémunération des services système (TSS), qui couvre les coûts liés à la stabilisation du réseau et à l’équilibrage entre l’offre et la demande, s’établit à 6,64 centimes par kilowattheure sur la même période.
Le choix d’une période tarifaire de deux ans repose sur des considérations stratégiques. L’ANRE prévoit une révision conjointe de ce tarif avec celui de l’utilisation du réseau de transport électrique, dont la première période tarifaire s’achèvera début 2027. Cette synchronisation vise à garantir une cohérence entre les différentes composantes du système électrique, tout en facilitant l’intégration des énergies renouvelables et en optimisant les coûts pour les consommateurs.
Outre son impact sur la transparence et l’équité des coûts d’accès au réseau, la fixation du TURD constitue un signal fort pour les investisseurs. En offrant une meilleure visibilité sur la tarification, cette mesure est susceptible de stimuler les investissements dans le secteur de l’énergie, notamment en matière d’énergies renouvelables et d’efficacité énergétique.
Cette réforme intervient également à un moment stratégique pour l’économie marocaine. Avec l’entrée en vigueur de la taxe carbone prévue en 2026, la compétitivité des entreprises dépendra en grande partie de leur capacité à s’appuyer sur une énergie propre et abordable. La clarification du cadre tarifaire permet ainsi d’accélérer la décarbonation du tissu industriel, en encourageant une utilisation plus rationnelle de l’électricité et en facilitant l’accès aux sources d’énergie bas carbone.
L’ANRE souligne que l’établissement du TURD résulte d’un processus de concertation approfondi, impliquant l’ensemble des parties prenantes du secteur électrique national. En plus des échanges directs avec les acteurs du marché, une consultation publique a été menée via le site Internet de l’Agence, permettant à l’ensemble des citoyens et entreprises d’exprimer leurs observations.
L’objectif affiché par l’ANRE est de rendre la tarification plus transparente et plus lisible pour l’ensemble des consommateurs, tout en garantissant une répartition équitable des coûts liés à l’utilisation du réseau de distribution moyenne tension. Cette approche vise à assurer que chaque utilisateur contribue de manière proportionnée aux charges d’exploitation et de maintenance du réseau, sans distorsion ni disparité régionale.
En parallèle à la fixation du TURD, l’ANRE a également procédé à l’ajustement du tarif d’utilisation du réseau électrique national de transport (TURT), conformément à la décision n°02/24 du 5 février 2024. Ce tarif a été fixé à 6,68 centimes par kilowattheure à compter du 1er mars 2025. Par ailleurs, la rémunération des services système (TSS), qui couvre les coûts liés à la stabilisation du réseau et à l’équilibrage entre l’offre et la demande, s’établit à 6,64 centimes par kilowattheure sur la même période.