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La Chaire des littératures et des Arts africains, créée par l'Académie du Royaume du Maroc en mai 2022, organise une nouvelle offre de réception et d’exposition des littératures africaines, qui débutera le 26 avril, avec la même ambition tournée vers le décloisonnement, la valorisation et la circulation du patrimoine culturel africain en Afrique.
Ce nouveau cycle de présentation de l’actualité littéraire intitulé "Portraits d’écrivains" s’inscrit dans le cadre de "la poursuite de ce mouvement de dynamisation des espaces de consécration des littératures et des arts africains" mené par l’Académie. "L’objectif est de faire une plus étroite connaissance avec un auteur, de pénétrer dans son univers scriptural au croisement de la nouveauté et de l’atelier personnel de l’artiste", précise le communiqué.
Un air d'ailleurs...
"Ces rencontres d’une heure trente se déclineront en deux temps : d’abord sous forme d’un dialogue avec l’écrivain conduit par un modérateur, suivi d’une présentation par l’auteur de son dernier ouvrage sous l’éclairage des outils singuliers utilisés par l’écrivain pour son élaboration", lit-on.
Selon le communiqué, la première invitée est l’écrivaine malgache Michèle Rakotoson, née à Antananarivo. Elle est romancière, dramaturge et journaliste. Après un long séjour en France, elle est de retour dans la "grande île" en 2008. Son œuvre est essentiellement centrée sur l’histoire de son pays.
Aussi, Michèle Rakotoson revisite-t-elle les traditions et coutumes malgaches, en s'interrogeant sur le présent et l’avenir de son pays et en proposant des actions très concrètes autour de l’accès au livre avec des associations locales, principalement dans les milieux ruraux.
“Son témoignage est précieux pour comprendre un territoire africain souvent mal connu, à l’histoire palpitante", souligne le communiqué.
Ce nouveau cycle de présentation de l’actualité littéraire intitulé "Portraits d’écrivains" s’inscrit dans le cadre de "la poursuite de ce mouvement de dynamisation des espaces de consécration des littératures et des arts africains" mené par l’Académie. "L’objectif est de faire une plus étroite connaissance avec un auteur, de pénétrer dans son univers scriptural au croisement de la nouveauté et de l’atelier personnel de l’artiste", précise le communiqué.
Un air d'ailleurs...
"Ces rencontres d’une heure trente se déclineront en deux temps : d’abord sous forme d’un dialogue avec l’écrivain conduit par un modérateur, suivi d’une présentation par l’auteur de son dernier ouvrage sous l’éclairage des outils singuliers utilisés par l’écrivain pour son élaboration", lit-on.
Selon le communiqué, la première invitée est l’écrivaine malgache Michèle Rakotoson, née à Antananarivo. Elle est romancière, dramaturge et journaliste. Après un long séjour en France, elle est de retour dans la "grande île" en 2008. Son œuvre est essentiellement centrée sur l’histoire de son pays.
Aussi, Michèle Rakotoson revisite-t-elle les traditions et coutumes malgaches, en s'interrogeant sur le présent et l’avenir de son pays et en proposant des actions très concrètes autour de l’accès au livre avec des associations locales, principalement dans les milieux ruraux.
“Son témoignage est précieux pour comprendre un territoire africain souvent mal connu, à l’histoire palpitante", souligne le communiqué.
L'Afrique comme seule ligne de mire
Par le passé, l’Académie du Royaume du Maroc a abrité de riches colloques, des hommages rendu aux grandes plumes africaines et de la diaspora (Yambo Ouologuem, Simone Schwarz-Bart, Marie NDiaye, Sembène Ousmane) et des trophées de l’Académie du Royaume du Maroc ont été attribués aux personnalités en vie ou à titre posthume (Sembène Ousmane).
Une émission audiovisuelle, tournée dans les studios de l’Académie et intitulée "L’Instant académique" a aussi vu le jour au sein de l’institution académique afin d’adresser au vaste public de courtes séquences narratives et télévisuelles autour d’un auteur, de son œuvre et de son actualité. Des séminaires, des commémorations, des célébrations et des initiatives ayant en objet l’Afrique comme horizon de pensée et de rayonnement célébreront la vitalité du continent africain.
"La part prépondérante que le Maroc prend dans cette action pluridimensionnelle de promotion, d’interprétation, d’enseignement et de diffusion de la diversité culturelle africaine est à la dimension des espoirs et des attentes tant des universitaires que du grand public", souligne l'Académie.
