Nous sommes désormais habitués à vivre sous le harcèlement permanent de l’Algérie qui mène une sorte de guerre hybride ininterrompue depuis des années. Frustré par les revers répétitifs sur le dossier du Sahara, le régime algérien semble pris d’une fièvre vindicative qui le pousse à se livrer aux actes de subversion dignes des conflits de 4ème génération.
Campagnes de désinformation, incitation à l’immigration clandestine comme on s’en est aperçu le 15 septembre, appels à l’émeute et à la sédition… Tous les coups sont permis pour un régime qui semble masser ses troupes numériques pour braquer les projecteurs sur le Maroc et cacher ainsi le fiasco des élections présidentielles. La caste des généraux a poussé le ridicule à l’extrême en faisant élire un président avec un score stalinien tellement extravagant que lui-même n’y a pas cru. C’est dire à quel point ce pays angoissé voit dans l’acharnement contre le Maroc le meilleur exutoire pour anesthésier un peuple harassé par des décennies d’attentisme, de dictature et de crises politiques.
Maintenant, le régime veut passer à la vitesse supérieure sur le front du Sahara après avoir accumulé les désillusions diplomatiques, dont la reconnaissance française qui fut le plus douloureux coup de massue diplomatique après ceux de la reconnaissance américaine puis espagnole de la marocanité du Sahara. Le coup d’Emmanuel Macron fut si rude qu’il a radicalisé davantage la nomenklatura d’Alger qui a, rappelons-le, affiché une attitude similaire lorsque Donald Trump a publié son fameux tweet du 10 décembre 2020. Reste seulement la carte de la provocation à jouer. Raison pour laquelle Alger pousse le Polisario à installer ses sbires dans la zone tampon qu’il appelle “territoire libéré” pour flatter misérablement son orgueil. Le front séparatiste s’est ridiculisé en demandant la protection de la MINURSO. Une telle demande, impossible à exaucer, trahit les velléités provocatives de la clique polisarienne et son parrain qui cherchent à déstabiliser la région à deux mois de la réunion du Conseil de Sécurité dont les membres ne devraient pas être dupes de l’acharnement du régime algérien et de ses attaques non conventionnelles.
Entre-temps, l’émissaire onusien, Staffan de Mistura, continue sa traversée du désert. Lui, dont les hypothétiques talents diplomatiques n’ont jusqu’à présent pas servi à ressusciter l’espoir des tables rondes, se contente des rencontres protocolaires avec les diplomates des pays observateurs alors qu’il n’arrive pas à convaincre l’Algérie et le Polisario de regagner la table de négociations comme ils l’ont déjà fait en 2018 et 2019. Après avoir fait montre de son manque d’idées et d’initiative, l’émissaire onusien confirme désormais son absence de substance.
Campagnes de désinformation, incitation à l’immigration clandestine comme on s’en est aperçu le 15 septembre, appels à l’émeute et à la sédition… Tous les coups sont permis pour un régime qui semble masser ses troupes numériques pour braquer les projecteurs sur le Maroc et cacher ainsi le fiasco des élections présidentielles. La caste des généraux a poussé le ridicule à l’extrême en faisant élire un président avec un score stalinien tellement extravagant que lui-même n’y a pas cru. C’est dire à quel point ce pays angoissé voit dans l’acharnement contre le Maroc le meilleur exutoire pour anesthésier un peuple harassé par des décennies d’attentisme, de dictature et de crises politiques.
Maintenant, le régime veut passer à la vitesse supérieure sur le front du Sahara après avoir accumulé les désillusions diplomatiques, dont la reconnaissance française qui fut le plus douloureux coup de massue diplomatique après ceux de la reconnaissance américaine puis espagnole de la marocanité du Sahara. Le coup d’Emmanuel Macron fut si rude qu’il a radicalisé davantage la nomenklatura d’Alger qui a, rappelons-le, affiché une attitude similaire lorsque Donald Trump a publié son fameux tweet du 10 décembre 2020. Reste seulement la carte de la provocation à jouer. Raison pour laquelle Alger pousse le Polisario à installer ses sbires dans la zone tampon qu’il appelle “territoire libéré” pour flatter misérablement son orgueil. Le front séparatiste s’est ridiculisé en demandant la protection de la MINURSO. Une telle demande, impossible à exaucer, trahit les velléités provocatives de la clique polisarienne et son parrain qui cherchent à déstabiliser la région à deux mois de la réunion du Conseil de Sécurité dont les membres ne devraient pas être dupes de l’acharnement du régime algérien et de ses attaques non conventionnelles.
Entre-temps, l’émissaire onusien, Staffan de Mistura, continue sa traversée du désert. Lui, dont les hypothétiques talents diplomatiques n’ont jusqu’à présent pas servi à ressusciter l’espoir des tables rondes, se contente des rencontres protocolaires avec les diplomates des pays observateurs alors qu’il n’arrive pas à convaincre l’Algérie et le Polisario de regagner la table de négociations comme ils l’ont déjà fait en 2018 et 2019. Après avoir fait montre de son manque d’idées et d’initiative, l’émissaire onusien confirme désormais son absence de substance.
