C’est, décidément, du footage de gueule. Entre 2M et le WAC, un méli-mélo de haute puérilité. Beaucoup de non-dits émaillent un open secret qui dit vaguement son nom. Le WAC, dit-on, ne veut plus entendre parler d’une chaîne de télévision qui réalise un film documentaire payant sur le RAJA, son historique frère-ennemi. Pis, on met en exergue la proximité du DG de 2M avec le bureau dirigeant des Verts. Et c’est le seum qui s’installe.
Transposons les faits et imaginons un instant une télévision publique espagnole qui entreprend un tournage-commande du Real Madrid sans que l’Atletico de la même ville ne rouspète. Grossier ? Voyons…
Alors voilà, à la louche : à la fin du match retour du WAC contre les Algériens de Belouizdad comptant pour les quarts de finale de la Champion’s League africaine, une équipe de reportage de 2M décide d’aller chercher les déclarations des joueurs de la formation casablancaise dans les vestiaires, lieux sacrés en sport.
Les Wydadis repoussent les journalistes et vont jusqu’à leur interdire l’accès à la salle des conférences qui relève des instances de la CAF et pas du bureau du WAC ! Les images captées et où l’on entend quelques noms d’oiseaux prononcés par le staff du Wydad à l’endroit des envoyés de la chaîne de télévision sont diffusées.
La réaction des sociétaires du WAC ne se fait pas attendre. Une sorte de crêpage de chignon qui finit autour d’une table de réconciliation pendant laquelle le WAC calme ses ardeurs. Le patron de 2M propose au président de l’équipe casablancaise le même traitement à péage réservé au RAJA. Du fairplay au forceps !
Transposons les faits et imaginons un instant une télévision publique espagnole qui entreprend un tournage-commande du Real Madrid sans que l’Atletico de la même ville ne rouspète. Grossier ? Voyons…
Alors voilà, à la louche : à la fin du match retour du WAC contre les Algériens de Belouizdad comptant pour les quarts de finale de la Champion’s League africaine, une équipe de reportage de 2M décide d’aller chercher les déclarations des joueurs de la formation casablancaise dans les vestiaires, lieux sacrés en sport.
Les Wydadis repoussent les journalistes et vont jusqu’à leur interdire l’accès à la salle des conférences qui relève des instances de la CAF et pas du bureau du WAC ! Les images captées et où l’on entend quelques noms d’oiseaux prononcés par le staff du Wydad à l’endroit des envoyés de la chaîne de télévision sont diffusées.
La réaction des sociétaires du WAC ne se fait pas attendre. Une sorte de crêpage de chignon qui finit autour d’une table de réconciliation pendant laquelle le WAC calme ses ardeurs. Le patron de 2M propose au président de l’équipe casablancaise le même traitement à péage réservé au RAJA. Du fairplay au forceps !
Anis HAJJAM
