« Karim Benzema est français certes, mais il est surtout algérien et donc maghrébin et donc un peu aussi marocain. Rassurez- vous honorables voisins de l’Est, l’intention ici n’est nullement l’appropriation de la paternité d’un illustre fils de votre cher et fier peuple qui vient d’être sacré ballon d’or pour l’année 2022. Nulle place ici aux basses polémiques ‘’couscoussiennes et zelligiennes’’, Benzema est Algérien, point à la ligne… même s’il faut reconnaitre qu’il doit plus au très structuré écosystème sportif français qu’à ses gènes et à sa noble lignée maghrébine, au même titre que ses homologues maroco-bataves, Ziyech et Mazraoui, ne sont redevables au football marocain. »
Cette littérature est tirée d’un texte pondu à l’annonce du ballon d’or par le non moins honorable Majdouline EL Atouabi, directeur de la publication du quotidien L’Opinion dans lequel je sévis. A sa lecture, je me suis pris la tête entre les mains, moi qui n’offense ni le ballon (d’or ou pas) ni le football qui m’inspire excitation et fierté à la vue des tifos, gardant bien évidemment l’oeil plus sur les gradins que sur l’aire de jeu.
Et puis, il y a le couscous et le zellige qui me plombent la curiosité puisque le texte poursuit son dribble vers « Benzema est Algérien ». Malaise dans mes neurones. J’aurais pu appeler l’auteur pour plus amples détails, mais j’ai préféré lui dédié cette humeur, puisque «les écrits restent et les paroles s’envolent».
Finalement, je retiens le couscous que je mange une fois tous les tremblements de terre et le zellige qui me rappelle perpétuellement le Maroc où je vis. Quant aux bataves, il faudrait leur lire les lignes de EL Atouabi en les accompagnant de sous-titres.
Cette littérature est tirée d’un texte pondu à l’annonce du ballon d’or par le non moins honorable Majdouline EL Atouabi, directeur de la publication du quotidien L’Opinion dans lequel je sévis. A sa lecture, je me suis pris la tête entre les mains, moi qui n’offense ni le ballon (d’or ou pas) ni le football qui m’inspire excitation et fierté à la vue des tifos, gardant bien évidemment l’oeil plus sur les gradins que sur l’aire de jeu.
Et puis, il y a le couscous et le zellige qui me plombent la curiosité puisque le texte poursuit son dribble vers « Benzema est Algérien ». Malaise dans mes neurones. J’aurais pu appeler l’auteur pour plus amples détails, mais j’ai préféré lui dédié cette humeur, puisque «les écrits restent et les paroles s’envolent».
Finalement, je retiens le couscous que je mange une fois tous les tremblements de terre et le zellige qui me rappelle perpétuellement le Maroc où je vis. Quant aux bataves, il faudrait leur lire les lignes de EL Atouabi en les accompagnant de sous-titres.
Anis HAJJAM