Un brouhaha inédit accompagne l’équipe marocaine de football qui accède au carré d’or de la Coupe du monde. Ceci est désormais confirmé. Maintenant que la France, championne en titre, détruise de beaux rêves en envoyant le Maroc au duel de la troisième place, elle sort ses griffes qui griffent, celles qui ne sont régulées que par le poids de la mauvaise foi de plus en plus collective. Le Maroc perd mais son rêve perdure. Il le proclame lors du classement face aux tueurs croates qu’il a dû bloquer sans jamais les mettre hors d’état de nuire. Cette belle histoire est un ensemble de détonations, que nous aimons et supportons.
A côté, pour 2M, la chaîne de toutes les productions, la couverture de la présence marocaine au Qatar est un parcours d’une grosse incompréhension. L’ancien fils de la boite de Aïn Sebaa devenu directeur de Arryadia se délecte en ordonnant à son équipe de signifier à l’équipe de 2M de rester à l’écart, de ne pas pénétrer sur les lieux où ça se déroule. Chic de la part d’une personne « prêtée » par la même 2M et au bord du départ à la retraite.
Cette hargne est certainement le produit d’une immense incompréhension du métier, d’un rejet immédiat du développement qui revoie à l’insupportable, parfois au coup de foudre, à la vie en reconstruction. Plus tard, on rentre à la maison et on pleure. Des larmes qui évoquent l’humain en nous. Bref, le Maroc est content. L’équipe marocaine aurait pu mieux faire, mais le royaume ne se signifie que lorsque sa barque se boursoufle de grosses prises. Le reste n’est que poison.
A côté, pour 2M, la chaîne de toutes les productions, la couverture de la présence marocaine au Qatar est un parcours d’une grosse incompréhension. L’ancien fils de la boite de Aïn Sebaa devenu directeur de Arryadia se délecte en ordonnant à son équipe de signifier à l’équipe de 2M de rester à l’écart, de ne pas pénétrer sur les lieux où ça se déroule. Chic de la part d’une personne « prêtée » par la même 2M et au bord du départ à la retraite.
Cette hargne est certainement le produit d’une immense incompréhension du métier, d’un rejet immédiat du développement qui revoie à l’insupportable, parfois au coup de foudre, à la vie en reconstruction. Plus tard, on rentre à la maison et on pleure. Des larmes qui évoquent l’humain en nous. Bref, le Maroc est content. L’équipe marocaine aurait pu mieux faire, mais le royaume ne se signifie que lorsque sa barque se boursoufle de grosses prises. Le reste n’est que poison.
Anis HAJJAM