Cela fait un temps qui ne nous rajeunit pas qu’on évoque, avec fougue, l’art intégré. Qu’elle soit «in» ou «out», cette proposition n’a jamais faibli, a plutôt évolué. Seulement, une interprétation légère de l’approche prend le relais pour redéfinir le concept en criant à la conceptualisation.
Si cela reste dans l’aérien, on ne peut se positionner, sinon se heurter le front contre l’opacité du voile de l’incompréhension. Et c’est l’errance dans le labyrinthe de la reconsidération qui s’émancipe.
La semaine passée, l’hôtel Radisson Blu de Casablanca nous convie à une présentation d’art intégré intégrant Mohamed Melehi. Charmante invitation qui fait plus plaisir qu’apprécier le thème. Aucune intégration n’y prend forme, encore moins une continuité entre l’architecture interne et les oeuvres. Un accrochage tout au plus, nous racontant que Melehi souhaite voir de l’intégration dans cet espace qu’il accompagne pendant sa construction dans le Casablanca Art Déco.
Non, on n’emprunte pas ce sinueux chemin qui bute sur l’ample néant dessiné par quelques marchants amoureux de la cogne sonnante. Ils sont de plus en plus présents depuis le départ d’un artiste bouleversant de maestria, profond en créations, l’inoubliable Mohamed Melehi. Aurait-il apprécié ce subit intéressé engouement de là où il se trouve, forcément le sourire en coin ? La réponse est dans la question, mais jouons les observateurs.
L’approche de l’assoiffé déborde de ruissèlements. Avec une entente non avouée : «Chacun choisit sa nage, les vagues font le reste.» Et patatras ! Les véritables amoureux de l’art ne plongent pas forcément dans ces eaux tumultueuses, dans celles présentées comme douces non plus. Cela, c’est de l’intégrité intégrée.
Si cela reste dans l’aérien, on ne peut se positionner, sinon se heurter le front contre l’opacité du voile de l’incompréhension. Et c’est l’errance dans le labyrinthe de la reconsidération qui s’émancipe.
La semaine passée, l’hôtel Radisson Blu de Casablanca nous convie à une présentation d’art intégré intégrant Mohamed Melehi. Charmante invitation qui fait plus plaisir qu’apprécier le thème. Aucune intégration n’y prend forme, encore moins une continuité entre l’architecture interne et les oeuvres. Un accrochage tout au plus, nous racontant que Melehi souhaite voir de l’intégration dans cet espace qu’il accompagne pendant sa construction dans le Casablanca Art Déco.
Non, on n’emprunte pas ce sinueux chemin qui bute sur l’ample néant dessiné par quelques marchants amoureux de la cogne sonnante. Ils sont de plus en plus présents depuis le départ d’un artiste bouleversant de maestria, profond en créations, l’inoubliable Mohamed Melehi. Aurait-il apprécié ce subit intéressé engouement de là où il se trouve, forcément le sourire en coin ? La réponse est dans la question, mais jouons les observateurs.
L’approche de l’assoiffé déborde de ruissèlements. Avec une entente non avouée : «Chacun choisit sa nage, les vagues font le reste.» Et patatras ! Les véritables amoureux de l’art ne plongent pas forcément dans ces eaux tumultueuses, dans celles présentées comme douces non plus. Cela, c’est de l’intégrité intégrée.
Anis HAJJAM