La société du gueuleton et de la beuverie est subitement prise de court. On lui annonce la réouverture des lieux qui animent les nuits noires en les illuminant de claquants spots, en les chargeant de décibels qui ne font pas forcément l’unanimité. Elle est donc autorisée à aller faire la fête sans masque. Génial ! Et qu’en est-il du passe vaccinal ? Toujours de vigueur, paraît-il. Dans le monde de la nuit aussi? Voyons…
Mais bon, si on s’y aventure, on risque d’avoir des remises en place en bonnes et dues formes. Taisons alors ce que nous recevons comme notes d’information communiquées par des sources se référant à la foi digne. Rien, nada, walou, nothing. La nuit est l’espace du non-dit, même lorsqu’elle se fait bruyante. Et ses codes évoluent. «Ces lieux de perdition immonde ont donc rouvert», dit le graveleux ancien imberbe devenu marchant de dogmes religieux «drapé» de poils crasseux. Mais là n’est pas le propos, Dieu en est fatalement l’époustouflant témoin.
Seulement, après toute cette littérature de circonstance, la réalité des tenanciers de ces espaces de grosses fêtes, est dans l’expectative. Reviendront-ils ou pas, en masse ou en comité largement restreint ? Le quiproquo pour l’instant est grandement ailleurs.
Le client, deux années plus tard, a eu le temps de se replier chez lui, vivre entre amis, au moindre coût, en ne risquant aucune déconvenue du dehors. Pour l’instant, cela s’entend. Que la vie reprenne son cours, avec sa sagesse diurne et sa folie nocturne, l’inverse serait également le bienvenu. Et que la fête soit faite en phase avec ses fervents promoteurs. A corps perdus.
Mais bon, si on s’y aventure, on risque d’avoir des remises en place en bonnes et dues formes. Taisons alors ce que nous recevons comme notes d’information communiquées par des sources se référant à la foi digne. Rien, nada, walou, nothing. La nuit est l’espace du non-dit, même lorsqu’elle se fait bruyante. Et ses codes évoluent. «Ces lieux de perdition immonde ont donc rouvert», dit le graveleux ancien imberbe devenu marchant de dogmes religieux «drapé» de poils crasseux. Mais là n’est pas le propos, Dieu en est fatalement l’époustouflant témoin.
Seulement, après toute cette littérature de circonstance, la réalité des tenanciers de ces espaces de grosses fêtes, est dans l’expectative. Reviendront-ils ou pas, en masse ou en comité largement restreint ? Le quiproquo pour l’instant est grandement ailleurs.
Le client, deux années plus tard, a eu le temps de se replier chez lui, vivre entre amis, au moindre coût, en ne risquant aucune déconvenue du dehors. Pour l’instant, cela s’entend. Que la vie reprenne son cours, avec sa sagesse diurne et sa folie nocturne, l’inverse serait également le bienvenu. Et que la fête soit faite en phase avec ses fervents promoteurs. A corps perdus.
Anis HAJJAM