C’est ahurissant ce qu’on se bidonne ! En ces temps de disette -argent, vivres, projections, confiance en le lendemain-, l’humeur est pléthorique en termes d’humour.
Prenons le cas de ce chauffeur de taxi Bac-Plus-Quatre et posons-lui la question sur la situation inédite qui le plonge dans le désarroi, cette distraction savamment organisée : «Avant, j’étais chômeur à plein temps et j’ai ensuite passé le permis de confiance pour finalement devenir chômeur à mi-temps, puis chômeur à temps plein. J’ai reçu les deux vaccins, mais je ne suis pas pour le pass vaccinal.»
Résultat, le patron, détenteur de l’agrément, se soulage de son employé, déclarant sa loyauté aux empêcheurs de tourner en rond. Et on se fend la face !
La rigolade se poursuit avec le tenancier d’un restaurant qui, après avoir vu s’éclaircir le ciel au-dessus de son affaire longtemps mise en veilleuse, se retrouve pénalisé à cinquante pour cent par sa clientèle difficilement retrouvée, parmi laquelle il dénombre de nombreux vaccinés anti-pass. Lui et son personnel sont évidemment morts de rire.
Et puis, il y a ce banquier qui n’échange avec ses gros clients que par le biais de leurs fondés de pouvoirs et qui ne calcule que par inadvertance ses trop petits clients dont des veuves n’ayant jamais su ou pu utiliser une carte-guichet. Souvent elles n’ont pas de pass vaccinal, souvent elles n’ont pas accès à la banque. Une décision que le banquier n’a pas imaginée même s’il manque d’imagination.
Et là, on ne vous raconte pas les parties d’éclats de rires de la famille qui n’a pas réussi à toucher sa pension. D’autres exemples plus ou moins terre à terre s’additionnent à cette comédie tragique qui voile les récentes hausses de denrées vitales. Et si ça explose, ça sera certainement de rire.
Prenons le cas de ce chauffeur de taxi Bac-Plus-Quatre et posons-lui la question sur la situation inédite qui le plonge dans le désarroi, cette distraction savamment organisée : «Avant, j’étais chômeur à plein temps et j’ai ensuite passé le permis de confiance pour finalement devenir chômeur à mi-temps, puis chômeur à temps plein. J’ai reçu les deux vaccins, mais je ne suis pas pour le pass vaccinal.»
Résultat, le patron, détenteur de l’agrément, se soulage de son employé, déclarant sa loyauté aux empêcheurs de tourner en rond. Et on se fend la face !
La rigolade se poursuit avec le tenancier d’un restaurant qui, après avoir vu s’éclaircir le ciel au-dessus de son affaire longtemps mise en veilleuse, se retrouve pénalisé à cinquante pour cent par sa clientèle difficilement retrouvée, parmi laquelle il dénombre de nombreux vaccinés anti-pass. Lui et son personnel sont évidemment morts de rire.
Et puis, il y a ce banquier qui n’échange avec ses gros clients que par le biais de leurs fondés de pouvoirs et qui ne calcule que par inadvertance ses trop petits clients dont des veuves n’ayant jamais su ou pu utiliser une carte-guichet. Souvent elles n’ont pas de pass vaccinal, souvent elles n’ont pas accès à la banque. Une décision que le banquier n’a pas imaginée même s’il manque d’imagination.
Et là, on ne vous raconte pas les parties d’éclats de rires de la famille qui n’a pas réussi à toucher sa pension. D’autres exemples plus ou moins terre à terre s’additionnent à cette comédie tragique qui voile les récentes hausses de denrées vitales. Et si ça explose, ça sera certainement de rire.
Anis HAJJAM