«Étant donné que l'impact des vaccins sur la réduction de la transmission est encore inconnu et que la disponibilité actuelle des vaccins est trop limitée, le comité a recommandé que les pays n'exigent pas de preuve de vaccination pour les voyageurs entrant sur leur territoire», indique un communiqué de cet organe qui s'est réuni jeudi.
Le comité a exhorté les pays à mettre en œuvre des mesures coordonnées et fondées sur des preuves pour voyager en toute sécurité et de partager avec l'OMS les expériences et les meilleures pratiques apprises.
Le comité a souligné, en outre, la nécessité d'un accès équitable aux vaccins par le biais du mécanisme COVAX ainsi que d'un transfert de technologie pour augmenter les capacités de production mondiales.
Il a invité les fabricants de vaccins à fournir rapidement des données d'innocuité et d'efficacité à l'OMS pour une liste des utilisations d'urgence.
«Le manque de telles données est un obstacle à l'approvisionnement rapide et équitable de vaccins au niveau mondial», a estimé le comité.
Le comité a exhorté les pays à mettre en œuvre des mesures coordonnées et fondées sur des preuves pour voyager en toute sécurité et de partager avec l'OMS les expériences et les meilleures pratiques apprises.
Le comité a souligné, en outre, la nécessité d'un accès équitable aux vaccins par le biais du mécanisme COVAX ainsi que d'un transfert de technologie pour augmenter les capacités de production mondiales.
Il a invité les fabricants de vaccins à fournir rapidement des données d'innocuité et d'efficacité à l'OMS pour une liste des utilisations d'urgence.
«Le manque de telles données est un obstacle à l'approvisionnement rapide et équitable de vaccins au niveau mondial», a estimé le comité.