En pleine pandémie et au comble d’une crise historique du secteur touristique, l’affaire du meurtre et de la tentative de meurtre de ressortissantes étrangères à Tiznit puis à Agadir résonne comme un sinistre «Copycat» du double assassinat odieux à vocation terroriste, en décembre 2018, de deux touristes scandinaves.
Cet attentat lâche et sanguinaire qui avait révulsé les Marocains, suscitant une mobilisation populaire et une vague de solidarité inédite avec les familles des victimes, n’avait malgré tout pas impacté les arrivées touristiques au Maroc qui avaient même enregistré un record historique à l’époque.
Toutefois, en cette période sinistrée où les opérateurs touristiques nationaux appellent de tous leurs voeux à une réouverture urgente de l’espace aérien, à l’instar des autorités israéliennes qui ont décidé de faire fi de la flambée d’Omicron pour sauver leur tourisme, un tel événement ne peut être que de mauvais augure.
Certes, l’enquête policière qui est en cours n’a pas encore révélé toutes ses conclusions et les premières constatations penchent plus vers la thèse d’un acte irréfléchi commis par un forcené, mais le mal est déjà fait.
En plus d’un flagrant retard à l’allumage aggravé et rallongé par la vague Omicron, notre secteur touristique qui attend avec impatience la réouverture des frontières aériennes, normalement programmée pour le début du mois prochain, doit maintenant composer avec ce nouveau drame dont les conséquences en termes d’image de marque sur l’attractivité de notre pays ne doivent surtout pas être sous-estimées.
Cet attentat lâche et sanguinaire qui avait révulsé les Marocains, suscitant une mobilisation populaire et une vague de solidarité inédite avec les familles des victimes, n’avait malgré tout pas impacté les arrivées touristiques au Maroc qui avaient même enregistré un record historique à l’époque.
Toutefois, en cette période sinistrée où les opérateurs touristiques nationaux appellent de tous leurs voeux à une réouverture urgente de l’espace aérien, à l’instar des autorités israéliennes qui ont décidé de faire fi de la flambée d’Omicron pour sauver leur tourisme, un tel événement ne peut être que de mauvais augure.
Certes, l’enquête policière qui est en cours n’a pas encore révélé toutes ses conclusions et les premières constatations penchent plus vers la thèse d’un acte irréfléchi commis par un forcené, mais le mal est déjà fait.
En plus d’un flagrant retard à l’allumage aggravé et rallongé par la vague Omicron, notre secteur touristique qui attend avec impatience la réouverture des frontières aériennes, normalement programmée pour le début du mois prochain, doit maintenant composer avec ce nouveau drame dont les conséquences en termes d’image de marque sur l’attractivité de notre pays ne doivent surtout pas être sous-estimées.
Hiba CHAKER