Dans un rapport de la fédération sur l’impact de la pandémie du coronavirus sur le secteur, cette dernière rappelle que la concrétisation de ce projet permettra de moderniser le secteur du transport touristique et de hisser la qualité et la compétitivité du produit proposé aux clients.
Ledit rapport, qui comporte certaines propositions visant à atténuer l’impact socio-économique de la pandémie sur le secteur du transport touristique, a appelé à promouvoir le tourisme interne en tant qu’alternative de nature à atténuer l’impact de la pandémie.
La Fédération a aussi plaidé pour une exonération fiscale de 3 ans afin de permettre aux entreprises et professionnels de ce secteur de retrouver leur équilibre chamboulé par la pandémie du coronavirus.
Elle plaide aussi pour la suspension de l'assurance responsabilité civile pour véhicules en arrêt en raison de la pandémie, tout en conservant les garanties conditionnées de certains établissements d’assurance, mettant l’accent sur la nécessité d’étendre l’initiative récemment lancée par les sociétés d’assurance, qui ne concerne que 20% de la flotte du transport touristique.
La fédération appelle, en outre, à revoir les tarifs appliqués au transport touristique, un secteur dont l’activité est saisonnière et tributaire de la dynamique touristique au Maroc, plaidant pour le rééchelonnement des crédits pour une année sans intérêt car, poursuit ce rapport, tous les indicateurs montrent que le secteur sera très impacté durant l’année 2020 en raison de la pandémie.
La fédération appelle également à allouer une subvention au secteur afin de lui permettre de conserver son équilibre et à attribuer aux professionnels des crédits ne dépassant pas 2% de taux d’intérêts.
Toutes ces mesures sont de nature à conserver l’emploi dans ce secteur et à aider ces entreprises à surmonter les impacts de cette pandémie, ajoute le même rapport.
Ledit rapport, qui se base sur une étude de terrain sur près de 300 entreprises du secteur du transport touristique, indique que 2.617 véhicules (légers et lourds) sur 3.032 sont à l’arrêt, soit 86% de la flotte, alors que le reste est mis à la disposition du personnel soignant dans les différents hôpitaux du Royaume ainsi qu’au service des employés et œuvres sociales.
Notons que les ventes du premier trimestre de l’année en cours ont connu une baisse de 100% par rapport aux ventes de 2019 en raison de la fermeture des frontières aériennes et maritimes.
Ledit rapport, qui comporte certaines propositions visant à atténuer l’impact socio-économique de la pandémie sur le secteur du transport touristique, a appelé à promouvoir le tourisme interne en tant qu’alternative de nature à atténuer l’impact de la pandémie.
La Fédération a aussi plaidé pour une exonération fiscale de 3 ans afin de permettre aux entreprises et professionnels de ce secteur de retrouver leur équilibre chamboulé par la pandémie du coronavirus.
Elle plaide aussi pour la suspension de l'assurance responsabilité civile pour véhicules en arrêt en raison de la pandémie, tout en conservant les garanties conditionnées de certains établissements d’assurance, mettant l’accent sur la nécessité d’étendre l’initiative récemment lancée par les sociétés d’assurance, qui ne concerne que 20% de la flotte du transport touristique.
La fédération appelle, en outre, à revoir les tarifs appliqués au transport touristique, un secteur dont l’activité est saisonnière et tributaire de la dynamique touristique au Maroc, plaidant pour le rééchelonnement des crédits pour une année sans intérêt car, poursuit ce rapport, tous les indicateurs montrent que le secteur sera très impacté durant l’année 2020 en raison de la pandémie.
La fédération appelle également à allouer une subvention au secteur afin de lui permettre de conserver son équilibre et à attribuer aux professionnels des crédits ne dépassant pas 2% de taux d’intérêts.
Toutes ces mesures sont de nature à conserver l’emploi dans ce secteur et à aider ces entreprises à surmonter les impacts de cette pandémie, ajoute le même rapport.
Ledit rapport, qui se base sur une étude de terrain sur près de 300 entreprises du secteur du transport touristique, indique que 2.617 véhicules (légers et lourds) sur 3.032 sont à l’arrêt, soit 86% de la flotte, alors que le reste est mis à la disposition du personnel soignant dans les différents hôpitaux du Royaume ainsi qu’au service des employés et œuvres sociales.
Notons que les ventes du premier trimestre de l’année en cours ont connu une baisse de 100% par rapport aux ventes de 2019 en raison de la fermeture des frontières aériennes et maritimes.