Dans le territoire assiégé où l'agence est considérée par l'ONU et la plupart des ONG comme "la colonne vertébrale" des opérations humanitaires, 223 de ses employés ont été tués et deux tiers de ses installations endommagées ou détruites depuis le 7 octobre 2023, a assuré son commissaire général Philippe Lazzarini, lors d'une conférence de presse à Genève.
"Je dois dire que je me sens bien parce que j'ai le sentiment que ce que nous avons fait a été guidé par nos principes, par les valeurs et la Charte de l'ONU, par le droit international humanitaire", a-t-il affirmé, ajoutant que, quel que soit les critiques visant l'Unrwa, "j'ai le sentiment d'être du bon côté de l'Histoire".
L'Unrwa, créée par l'Assemblée générale de l'ONU en 1949, gère notamment des centres de santé et des écoles à Gaza, en Cisjordanie occupée, au Liban, en Syrie et en Jordanie.
L'Unrwa est "au milieu de cette tempête ou de cette transformation sismique qui a lieu dans la région, et qui a un impact sur les Palestiniens", a indiqué M. Lazzarini.
L'organisation est en crise depuis qu'Israël a accusé, sans preuve aucune, 12 de ses 13.000 employés de Gaza d'avoir participé à l'attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien le 7 octobre.
Neuf employés "pourraient avoir été impliqués" dans les attaques du 7 octobre, selon une enquête interne de l'ONU publiée en août.
Selon l'Unrwa, il avait été mis en congé administratif sans solde en mars et faisait l'objet d'une enquête interne.
"La première allégation le concernant remonte à mars, et l'agence, estimant qu'il s'agissait d'une allégation fondée, a pris immédiatement la décision de (le) suspendre", a assuré Lazzarini.
Certains des plus gros donateurs avaient suspendu leurs contributions à l'Unrwa en début d'année après les accusations d'Israël.
Sur les 16 pays ayant suspendu leur soutien, tous ont repris sauf les Etats-Unis, a indiqué le chef de l'organisation.
L'Unrwa a besoin de 80 millions de dollars d'ici la fin de l'année, a-t-il dit, se disant convaincu qu'il trouvera l'argent d'ici là.
"Je dois dire que je me sens bien parce que j'ai le sentiment que ce que nous avons fait a été guidé par nos principes, par les valeurs et la Charte de l'ONU, par le droit international humanitaire", a-t-il affirmé, ajoutant que, quel que soit les critiques visant l'Unrwa, "j'ai le sentiment d'être du bon côté de l'Histoire".
L'Unrwa, créée par l'Assemblée générale de l'ONU en 1949, gère notamment des centres de santé et des écoles à Gaza, en Cisjordanie occupée, au Liban, en Syrie et en Jordanie.
L'Unrwa est "au milieu de cette tempête ou de cette transformation sismique qui a lieu dans la région, et qui a un impact sur les Palestiniens", a indiqué M. Lazzarini.
L'organisation est en crise depuis qu'Israël a accusé, sans preuve aucune, 12 de ses 13.000 employés de Gaza d'avoir participé à l'attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien le 7 octobre.
Neuf employés "pourraient avoir été impliqués" dans les attaques du 7 octobre, selon une enquête interne de l'ONU publiée en août.
Selon l'Unrwa, il avait été mis en congé administratif sans solde en mars et faisait l'objet d'une enquête interne.
"La première allégation le concernant remonte à mars, et l'agence, estimant qu'il s'agissait d'une allégation fondée, a pris immédiatement la décision de (le) suspendre", a assuré Lazzarini.
Certains des plus gros donateurs avaient suspendu leurs contributions à l'Unrwa en début d'année après les accusations d'Israël.
Sur les 16 pays ayant suspendu leur soutien, tous ont repris sauf les Etats-Unis, a indiqué le chef de l'organisation.
L'Unrwa a besoin de 80 millions de dollars d'ici la fin de l'année, a-t-il dit, se disant convaincu qu'il trouvera l'argent d'ici là.