Les experts de l’OMS viennent de trancher sur les éventuels risques de liés à la consommation de l’aspartame, cet édulcorant controversé sans valeur nutritive et qui donne un goût sucré sans calorie ou presque.
Ils ont, ainsi, classé la substance comme étant possiblement cancérogène pour l’homme du fait qu’elle présente des « indications limitées » relatives au cancer chez l’homme. Selon trois études analysées par l’Agence internationale de la recherche sur le cancer (CIRC), qui fait partie de l’OMS, des effets « dommageables » comme des cancers du foie ont été identifiés chez l’être humain ou chez l’animal.
Cependant, l’OMS n’a pas appelé les entreprises à retirer leurs produits qui contiennent de l’aspartame. « Nous ne conseillons pas, non plus, aux consommateurs d’arrêter complètement leur consommation, car la sécurité n’est pas une préoccupation majeure aux doses couramment utilisées », a rassuré le Docteur Francesco Branca, Directeur du département Nutrition, santé et développement de l’OMS.
Si l’OMS n’a pas appelé à l’arrêt de consommation des produits contenant cette substance, à savoir dans les sodas lights, yaourts allégés, sucrettes, chips aromatisées, chewing-gums, céréales et autres, elle a appelé, à une consommation journalière modérée, soit pas plus de neuf canettes de soda le jour pour un adulte de 70 kg et pas plus de 3 pour un enfant de 30 kg.
De ce fait, avec une canette de boisson gazeuse light contenant 200 ou 300 mg de cet édulcorant, un adulte pesant 70 kg devrait consommer plus de 9 à 14 canettes par jour pour dépasser la dose journalière admissible. Et un tel seuil, c’est en supposant qu’il n’y ait pas d’autres apports provenant d’autres sources alimentaires.
Il est à noter que l’aspartame est une substance sans valeur nutritive largement utilisée depuis les années 1980 comme édulcorant de table. C’est la première fois que cet additif alimentaire est évalué par le Centre international de recherche sur le cancer.
Ils ont, ainsi, classé la substance comme étant possiblement cancérogène pour l’homme du fait qu’elle présente des « indications limitées » relatives au cancer chez l’homme. Selon trois études analysées par l’Agence internationale de la recherche sur le cancer (CIRC), qui fait partie de l’OMS, des effets « dommageables » comme des cancers du foie ont été identifiés chez l’être humain ou chez l’animal.
Cependant, l’OMS n’a pas appelé les entreprises à retirer leurs produits qui contiennent de l’aspartame. « Nous ne conseillons pas, non plus, aux consommateurs d’arrêter complètement leur consommation, car la sécurité n’est pas une préoccupation majeure aux doses couramment utilisées », a rassuré le Docteur Francesco Branca, Directeur du département Nutrition, santé et développement de l’OMS.
Si l’OMS n’a pas appelé à l’arrêt de consommation des produits contenant cette substance, à savoir dans les sodas lights, yaourts allégés, sucrettes, chips aromatisées, chewing-gums, céréales et autres, elle a appelé, à une consommation journalière modérée, soit pas plus de neuf canettes de soda le jour pour un adulte de 70 kg et pas plus de 3 pour un enfant de 30 kg.
De ce fait, avec une canette de boisson gazeuse light contenant 200 ou 300 mg de cet édulcorant, un adulte pesant 70 kg devrait consommer plus de 9 à 14 canettes par jour pour dépasser la dose journalière admissible. Et un tel seuil, c’est en supposant qu’il n’y ait pas d’autres apports provenant d’autres sources alimentaires.
Il est à noter que l’aspartame est une substance sans valeur nutritive largement utilisée depuis les années 1980 comme édulcorant de table. C’est la première fois que cet additif alimentaire est évalué par le Centre international de recherche sur le cancer.