La numérisation de l'économie mondiale a permis la collecte et le stockage massif de données dans les serveurs et les datacenters. Cependant, une grande partie de ces données, appelées "dark data", n'est pas exploitée ou analysée, ce qui peut avoir des conséquences économiques et environnementales importantes.
Selon une étude de VERITAS, au moins 52% des données stockées dans le monde ne sont pas utilisées, ce qui coûte aux entreprises environ 2 milliards d'euros par mois (source cabinet IDC). Elles peuvent entraîner des coûts de stockage, de maintenance et de sécurité considérables. De plus, le manque d'exploitation de ces données peut représenter un réel manque à gagner pour les entreprises. En effet, la data non analysée ne peut pas être utilisée pour prendre des décisions, identifier de nouvelles opportunités commerciales ou optimiser les processus métier.
Les dark data ont également une incidence sur l'empreinte environnementale du numérique, représentant environ 14% de celle-ci en France selon GreenIT. Pour remédier à cette situation, il est essentiel que les organisations adoptent des politiques de gouvernance et des stratégies d'analyse des données.
Les entreprises doivent intégrer cette notion lors de la conception de leurs modèles de données pour réduire le volume des dark data et exploiter pleinement leurs potentiels. Cela peut également aider à réduire les coûts et l'impact environnemental associés au stockage inutile.
De plus, l'analyse de ce segment peut offrir aux entreprises des avantages considérables : des décisions plus éclairées, une meilleure compréhension de leurs clients et de leur marché, ainsi qu’une détection précoce des menaces de sécurité et à prévenir les cyberattaques. Les données inexploitées peuvent contenir des informations précieuses sur les activités suspectes et les comportements anormaux.
Ce phénomène peut également impacter le secteur public et le développement de l'e-gouvernement. En effet, les administrations publiques collectent une grande quantité de data tout au long de leurs activités. Toutefois, à l’instar du secteur privé, ces données peuvent être stockées sans être utilisées ou analysées, créant ainsi des dark data.
Elles peuvent pourtant contenir des informations utiles pour l'amélioration des services publics, la prévention des fraudes ou encore pour la prise de décision politique. L'e-gouvernement pourrait alors devenir plus efficace, plus transparent et plus participatif.
En somme, l'exploitation des dark data peut offrir de nombreux avantages aux entreprises et au gouvernement, notamment en termes de prise de décision, de prévention des cyberattaques et de réduction des coûts et de l'impact environnemental associés au stockage inutile. Il est donc essentiel que les entreprises et le gouvernement mettent en place des politiques de gouvernance et des stratégies d'analyse des données pour exploiter pleinement le potentiel de cette mine inexploitée.
Selon une étude de VERITAS, au moins 52% des données stockées dans le monde ne sont pas utilisées, ce qui coûte aux entreprises environ 2 milliards d'euros par mois (source cabinet IDC). Elles peuvent entraîner des coûts de stockage, de maintenance et de sécurité considérables. De plus, le manque d'exploitation de ces données peut représenter un réel manque à gagner pour les entreprises. En effet, la data non analysée ne peut pas être utilisée pour prendre des décisions, identifier de nouvelles opportunités commerciales ou optimiser les processus métier.
Les dark data ont également une incidence sur l'empreinte environnementale du numérique, représentant environ 14% de celle-ci en France selon GreenIT. Pour remédier à cette situation, il est essentiel que les organisations adoptent des politiques de gouvernance et des stratégies d'analyse des données.
Les entreprises doivent intégrer cette notion lors de la conception de leurs modèles de données pour réduire le volume des dark data et exploiter pleinement leurs potentiels. Cela peut également aider à réduire les coûts et l'impact environnemental associés au stockage inutile.
De plus, l'analyse de ce segment peut offrir aux entreprises des avantages considérables : des décisions plus éclairées, une meilleure compréhension de leurs clients et de leur marché, ainsi qu’une détection précoce des menaces de sécurité et à prévenir les cyberattaques. Les données inexploitées peuvent contenir des informations précieuses sur les activités suspectes et les comportements anormaux.
Ce phénomène peut également impacter le secteur public et le développement de l'e-gouvernement. En effet, les administrations publiques collectent une grande quantité de data tout au long de leurs activités. Toutefois, à l’instar du secteur privé, ces données peuvent être stockées sans être utilisées ou analysées, créant ainsi des dark data.
Elles peuvent pourtant contenir des informations utiles pour l'amélioration des services publics, la prévention des fraudes ou encore pour la prise de décision politique. L'e-gouvernement pourrait alors devenir plus efficace, plus transparent et plus participatif.
En somme, l'exploitation des dark data peut offrir de nombreux avantages aux entreprises et au gouvernement, notamment en termes de prise de décision, de prévention des cyberattaques et de réduction des coûts et de l'impact environnemental associés au stockage inutile. Il est donc essentiel que les entreprises et le gouvernement mettent en place des politiques de gouvernance et des stratégies d'analyse des données pour exploiter pleinement le potentiel de cette mine inexploitée.
Ibrahim HATIM