Un doigt d’honneur, un bras d’honneur, et pourquoi pas un pied s’associant aux deux précédents gestes qui ne sont ainsi administrés que par la loi d’un vocabulaire grandement nauséabond ? Le doigt est vindicatif, il est également mollement pris au sérieux lorsqu’il se fait entourer par les quatre autres qui se taisent au moment où le majeur explose sa supériorité.
Le bras est plus vindicatif que réellement opérationnel, au Maroc tout au moins. L’acte et son auteur sont graduellement incriminés. Graduellement, puisque l’éducation de base n’est qualifiée que par la quantification dans le temps. Et pourquoi « honneur », du fait qu’on se vautre intellectuellement dans la boue de l’insulte portée par l’inculte devenu grossièrement respectable ? « L'expression ‘’faire un bras d'honneur‘’ est également utilisée de manière imagée, pour pointer le désintérêt de quelqu'un pour quelque chose ou quelqu'un », dit une improbable source. Et puis, il y a cet évènement à vocation culturellement fédératrice et mondialement suivi : L’Eurovision.
Ce gros happening qui ne nous parle que pour nous chatouiller, reçoit deux Marocaines. L’une chante, la seconde aussi. La première est Maroco-Canadienne du Maroc, la deuxième est Marocaine Suédoise de Suède. La Zarra-Loreen et l’éclat se fait cognant.
Entre les deux, il y a le concours mais également le gros cours. La Zarra défend le Bleu-blanc-rouge français, Loreen se bat pour la Scandinavie qui la voit naître et est déjà lauréate de cette graveleuse compétition en 2012. La Zarra ne comprend pas le comptage qui la sort des Dix-Premiers pour la renvoyer à la 16e position.
Loreen est ensuite déclarée détentrice du titre. Réaction immédiate de la Maroco-Canadienne : un doigt d’honneur qui n’est pas pour colporter sa sympathie ni son fair-play. Un doigt qui s’échappe d’une main aussi mal tracée que le devenir d’une donneuse de voix en crise de retenue.
Le bras est plus vindicatif que réellement opérationnel, au Maroc tout au moins. L’acte et son auteur sont graduellement incriminés. Graduellement, puisque l’éducation de base n’est qualifiée que par la quantification dans le temps. Et pourquoi « honneur », du fait qu’on se vautre intellectuellement dans la boue de l’insulte portée par l’inculte devenu grossièrement respectable ? « L'expression ‘’faire un bras d'honneur‘’ est également utilisée de manière imagée, pour pointer le désintérêt de quelqu'un pour quelque chose ou quelqu'un », dit une improbable source. Et puis, il y a cet évènement à vocation culturellement fédératrice et mondialement suivi : L’Eurovision.
Ce gros happening qui ne nous parle que pour nous chatouiller, reçoit deux Marocaines. L’une chante, la seconde aussi. La première est Maroco-Canadienne du Maroc, la deuxième est Marocaine Suédoise de Suède. La Zarra-Loreen et l’éclat se fait cognant.
Entre les deux, il y a le concours mais également le gros cours. La Zarra défend le Bleu-blanc-rouge français, Loreen se bat pour la Scandinavie qui la voit naître et est déjà lauréate de cette graveleuse compétition en 2012. La Zarra ne comprend pas le comptage qui la sort des Dix-Premiers pour la renvoyer à la 16e position.
Loreen est ensuite déclarée détentrice du titre. Réaction immédiate de la Maroco-Canadienne : un doigt d’honneur qui n’est pas pour colporter sa sympathie ni son fair-play. Un doigt qui s’échappe d’une main aussi mal tracée que le devenir d’une donneuse de voix en crise de retenue.
