Osons, cette fois (encore ?), l’incongru. Nous nous permettons, neurones en villégiature, de nous exprimer sur un match de football. Une rencontre pratiquée sur un beau tapis vert (les Rajaouis et les habitués des jeux de destruction massive n’étant pas titillés dans ce texte), mettant aux prises deux formations aux couleurs traditionnellement rouges.
Les deux, pardi ! Et voilà que l’équipe « invitée » troque sa couleur sang contre un chatoyant noir, augmenté de belles touches argentées-dorées-platinées. Chic, cela dit en surclassant les prérogatives sportives. Cette mesure interdisant la bienséance de l’accueil offusque. Pourquoi ce ne sont pas les locaux qui repeignent leurs tenues face à des visiteurs brandissant la même teinte ? En attendant, nous sommes assurés de vivre le même traitement à Casablanca le 11 juin.
Les Rouges de là-bas y seront humiliamment sous d’autres coloris. Ceci pour le contenant, plutôt le vestimentaire. Quant au jeu et ses enjeux, nos collègues et confrères nous demanderaient assurément de nous éloigner du sujet puisqu’il y a différence entre la faute et l’obstruction, la touche de main et la main en faute, le tacle avec ou sans ballon, l’agression et l’agressivité, le butteur et l’opportuniste, le tireur et le tirailleur, le gardien de buts et le gardien des lieux. Nous avons donc regardé le match Al-Ahly/WAC.
Une promenade freestyle des Egyptiens pendant une grosse partie de la première période sanctionnée par un but administré au-delà du temps « réglementaire ». Le deuxième mi-match gifle de nouveau les Casablancais avant un but tardif qui remet le WAC dans la course. 2 à 1 et le rêve reprend son songe. Quant au sélectionneur belge de l’équipe marocaine, il est aussi stoïque qu’un arracheur de dents endimanché : « Vous verrez ce que nous donnerons lors du match retour. » Que les Wydadis retiennent bien leur souffle. La rencontre-retour aura bien lieu dimanche, le résultat encore dans les airs.
Les deux, pardi ! Et voilà que l’équipe « invitée » troque sa couleur sang contre un chatoyant noir, augmenté de belles touches argentées-dorées-platinées. Chic, cela dit en surclassant les prérogatives sportives. Cette mesure interdisant la bienséance de l’accueil offusque. Pourquoi ce ne sont pas les locaux qui repeignent leurs tenues face à des visiteurs brandissant la même teinte ? En attendant, nous sommes assurés de vivre le même traitement à Casablanca le 11 juin.
Les Rouges de là-bas y seront humiliamment sous d’autres coloris. Ceci pour le contenant, plutôt le vestimentaire. Quant au jeu et ses enjeux, nos collègues et confrères nous demanderaient assurément de nous éloigner du sujet puisqu’il y a différence entre la faute et l’obstruction, la touche de main et la main en faute, le tacle avec ou sans ballon, l’agression et l’agressivité, le butteur et l’opportuniste, le tireur et le tirailleur, le gardien de buts et le gardien des lieux. Nous avons donc regardé le match Al-Ahly/WAC.
Une promenade freestyle des Egyptiens pendant une grosse partie de la première période sanctionnée par un but administré au-delà du temps « réglementaire ». Le deuxième mi-match gifle de nouveau les Casablancais avant un but tardif qui remet le WAC dans la course. 2 à 1 et le rêve reprend son songe. Quant au sélectionneur belge de l’équipe marocaine, il est aussi stoïque qu’un arracheur de dents endimanché : « Vous verrez ce que nous donnerons lors du match retour. » Que les Wydadis retiennent bien leur souffle. La rencontre-retour aura bien lieu dimanche, le résultat encore dans les airs.