Le Maroc, meurtri, amoché, bouleversé et beau est esthétiquement troublant. Le Maroc, accueillant, généreux et doucereusement coléreux est aimant jusqu’à l’incompréhension. Ce Maroc dérange, crée des tremblements d’approches, en France exclusivement. Le Maroc est un pays, la France en est UN également.
Seulement ! Ce bel espace marocain et millénaire choisit de répondre à quelques-unes des dizaines de propositions d’aides au lendemain du séisme en toute souveraineté et sérénité. Et puis, l’Hexagone crache son venin à travers quelques médias. Outre C-News et son aînée Europe 1, l’actuel Journal du Dimanche et Valeurs Actuelles, France 2 et BFM TV, Charlie Hebdo et son infame dernière « Une », ce sont les quotidiens Le Monde et Libération, entre autres, qui s’invitent dans le concert de l’exécrable. Avec force et sans modération aucune. Le premier, « journal de référence », en déliquescence depuis de longues analyses douteuses, le deuxième dont le créateur (Jean-Paul Sartre) doit se retourner dans sa tombe.
Une tribune, accordée par la gazette de Beuve-Méry à l’écrivain marocain Abdallah Taïa -Tahar Benjelloun ne sachant plus quelle danse adopter sur d’autres supports- qui a du mal à avaler son vomi : « Ce tremblement de terre a mis tout le pays face à cette vérité qu’on ne peut plus se permettre de cacher, de maquiller : ce sont les plus pauvres qui vont principalement souffrir des conséquences de cette tragédie. Les Marocains des villages de l’Atlas. Les bourgs. Les douars. Les souks. »
Au Maroc, un tremblement de terre fait la différence entre les nantis et les démunis. Rance ! Quant à l’éditorial de Libération, bébé secoué de Jean-Paul Sartre, signé par la dénommée Alexandra Scwartzbrod, c’est l’intenable légèreté de la réflexion qui interpelle. Jugeons : « Alors que le bilan du séisme meurtrier de vendredi 8 septembre continue de s’alourdir, la question des secours est primordiale. Or la gestion de la catastrophe par le royaume reste opaque. » Opaque. Et encore bravo ! Heureusement que l’humain n’est pas décimé en France, pays cosmopolite. Vedettes franco-marocaines ou françaises nées au Maroc jouent les pompiers : Gad Elmaleh, Jamel Debbouze, Elie Semoun, Arthur, Booder, Ruth Elkrief, Jean-Luc Mélenchon, Rachida Dati, Najat Vallaud-Belkacem, Dominique De Villepin… D’autres, sans liens du sol ou du sang avec le Royaume, se solidarisent. Sans occulter les nombreuses associations et ONG qui se mobilisent de par le monde. Et que vive le Maroc mondial.
Seulement ! Ce bel espace marocain et millénaire choisit de répondre à quelques-unes des dizaines de propositions d’aides au lendemain du séisme en toute souveraineté et sérénité. Et puis, l’Hexagone crache son venin à travers quelques médias. Outre C-News et son aînée Europe 1, l’actuel Journal du Dimanche et Valeurs Actuelles, France 2 et BFM TV, Charlie Hebdo et son infame dernière « Une », ce sont les quotidiens Le Monde et Libération, entre autres, qui s’invitent dans le concert de l’exécrable. Avec force et sans modération aucune. Le premier, « journal de référence », en déliquescence depuis de longues analyses douteuses, le deuxième dont le créateur (Jean-Paul Sartre) doit se retourner dans sa tombe.
Une tribune, accordée par la gazette de Beuve-Méry à l’écrivain marocain Abdallah Taïa -Tahar Benjelloun ne sachant plus quelle danse adopter sur d’autres supports- qui a du mal à avaler son vomi : « Ce tremblement de terre a mis tout le pays face à cette vérité qu’on ne peut plus se permettre de cacher, de maquiller : ce sont les plus pauvres qui vont principalement souffrir des conséquences de cette tragédie. Les Marocains des villages de l’Atlas. Les bourgs. Les douars. Les souks. »
Au Maroc, un tremblement de terre fait la différence entre les nantis et les démunis. Rance ! Quant à l’éditorial de Libération, bébé secoué de Jean-Paul Sartre, signé par la dénommée Alexandra Scwartzbrod, c’est l’intenable légèreté de la réflexion qui interpelle. Jugeons : « Alors que le bilan du séisme meurtrier de vendredi 8 septembre continue de s’alourdir, la question des secours est primordiale. Or la gestion de la catastrophe par le royaume reste opaque. » Opaque. Et encore bravo ! Heureusement que l’humain n’est pas décimé en France, pays cosmopolite. Vedettes franco-marocaines ou françaises nées au Maroc jouent les pompiers : Gad Elmaleh, Jamel Debbouze, Elie Semoun, Arthur, Booder, Ruth Elkrief, Jean-Luc Mélenchon, Rachida Dati, Najat Vallaud-Belkacem, Dominique De Villepin… D’autres, sans liens du sol ou du sang avec le Royaume, se solidarisent. Sans occulter les nombreuses associations et ONG qui se mobilisent de par le monde. Et que vive le Maroc mondial.
