La place Jamaâ El Fna est à nouveau la cible de quelques empêcheurs de tourner en rond, d’une bande de bienfaiteurs, d’incorrigibles prodigueurs de sentiments de bonheur. A « la culture est la solution », ils apposent des Mouaâlakat pour crier haut le poids perpétuel de l’art, séculaire expression à l’entêtement établi depuis des lustres. A la tête de cette horde de rêveurs, le plasticien Mohamed El Baz, un Lillois originaire d’El Kssiba, hôte marrakchi depuis quelques années et futur non-autochtone -une sorte d’aubain- de l’étonnante localité de Tahanaout, investie par une floppée de créateurs en tous genres.
« J’ai souhaité inviter quelques artistes qui me touchent à participer à un hommage à ce lieu et à son histoire, à ses gens, poètes, conteurs, acteurs et au public surtout. Bien sûr, cet hommage est une volonté de poursuivre l’acte de 1969 fait par des artistes tels que Belkahia, Chebaâ, Melehi, Hamidi, Ataallah, Hafid.
Qui sommes-nous si nous ne nous souvenons pas de cela ? Je pense à eux. Le titre ‘’Mouaâlakat’’ vient de cela. Des esprits perchés, des esprits qui avaient à cœur d’échapper à la route tracée pour eux. Une conscience de ce qui allait advenir ensuite, pour le Maroc, pour l’Afrique, pour une autre conception du monde », s’enthousiasme El Baz qui fait allusion au manifeste du mouvement artistique nativiste moderniste de l’Ecole de Casablanca. « Ce geste simple en apparence est fondateur pour notre pays. Il m’est apparu essentiel de réactiver cette énergie, cette volonté d’égal à égal… », se vautre-t-il en voulant intituler cette place mythique « le milieu du monde et/ou le monde suspendu ».
Les artistes approchés par cette espèce de maître de cérémonie n’hésitent pas à rallier l’aventure : Safaa Erruas, Amina Benbouchta, Ghizlaina Agueznaï, Meriam Benkirane, Mounat Cherrat, Mounia Abdelali, Florence Arnold, Abdelkrim Ouazzani, Mo Baala, Hassan Bourkia, Simohammed Fettaka, Younes Atbane, Youssef Ouchra, Saïd Afifi, Abdoulaye Konata, Saïd Ait Elmoumen… Que cet OVNI créatif face sur la célèbre place un kiss landing.
« J’ai souhaité inviter quelques artistes qui me touchent à participer à un hommage à ce lieu et à son histoire, à ses gens, poètes, conteurs, acteurs et au public surtout. Bien sûr, cet hommage est une volonté de poursuivre l’acte de 1969 fait par des artistes tels que Belkahia, Chebaâ, Melehi, Hamidi, Ataallah, Hafid.
Qui sommes-nous si nous ne nous souvenons pas de cela ? Je pense à eux. Le titre ‘’Mouaâlakat’’ vient de cela. Des esprits perchés, des esprits qui avaient à cœur d’échapper à la route tracée pour eux. Une conscience de ce qui allait advenir ensuite, pour le Maroc, pour l’Afrique, pour une autre conception du monde », s’enthousiasme El Baz qui fait allusion au manifeste du mouvement artistique nativiste moderniste de l’Ecole de Casablanca. « Ce geste simple en apparence est fondateur pour notre pays. Il m’est apparu essentiel de réactiver cette énergie, cette volonté d’égal à égal… », se vautre-t-il en voulant intituler cette place mythique « le milieu du monde et/ou le monde suspendu ».
Les artistes approchés par cette espèce de maître de cérémonie n’hésitent pas à rallier l’aventure : Safaa Erruas, Amina Benbouchta, Ghizlaina Agueznaï, Meriam Benkirane, Mounat Cherrat, Mounia Abdelali, Florence Arnold, Abdelkrim Ouazzani, Mo Baala, Hassan Bourkia, Simohammed Fettaka, Younes Atbane, Youssef Ouchra, Saïd Afifi, Abdoulaye Konata, Saïd Ait Elmoumen… Que cet OVNI créatif face sur la célèbre place un kiss landing.