Nous sommes dans l’incompréhension absolue. Une expérience longtemps nourrie et variablement installée est désormais bafouée à coups d’inintelligence, de manque déroutant de lecture, de graves absorptions de thèses contradictoires qui saccagent l’esprit de partage et des remises en cause. Allons-nous continuer à subir cette méphitique presse, à se faire malmener par des parvenus de tous bords : culturels, politiques, institutionnels, sportifs, économiques, touristiques ?
Nous méritons plus de respect. Nous méritons qu’on nous regarde évoluer dans le sens de ce que la masse -en y faisant partie- nous réclame. « Il n’y a plus rien », disait l’humaniste auteur-compositeur-interprète français Léo Ferré : « La ponctuation de l'absurde, c'est bien ce renversement/ Des réacteurs abdominaux, comme à l'atterrissage/ On rote et on arrête le massacre/ Sur les pistes de l'inconscient/ Il y a des balises baveuses/ Toujours un peu se souvenant du frichti, de l'organe, du repu/ Mes plus beaux souvenirs sont d'une autre planète/ Où les bouchers vendaient de l'homme à la criée/ Moi, je suis de la race ferroviaire qui regarde passer les vaches/ Si on ne mangeait pas les vaches, les moutons et les restes/ Nous ne connaîtrions ni les vaches, ni les moutons, ni les restes/ Au bout du compte, on nous élève pour nous becqueter/ Alors, becquetons! »
Combien sont-ils à nous montrer le droit chemin journalistique en le bafouant à longueur de publications ? Et d’autres, ont-ils une légitimité à nous donner des leçons lorsqu’ils ne jurent que par leur rage à se maintenir à des postes dans des instances enrobées de privilèges ruisselants ? Et il y a eu un débat musclé et une décision absurde. Comment et pourquoi ? Le « lendemain » prendra ses quartiers. Pour l’instant, c’est le Maroc du fait accompli qui se prononce. Parlementez, le résultat est là. Il y a recours, dit-on. Bon courage.
Nous méritons plus de respect. Nous méritons qu’on nous regarde évoluer dans le sens de ce que la masse -en y faisant partie- nous réclame. « Il n’y a plus rien », disait l’humaniste auteur-compositeur-interprète français Léo Ferré : « La ponctuation de l'absurde, c'est bien ce renversement/ Des réacteurs abdominaux, comme à l'atterrissage/ On rote et on arrête le massacre/ Sur les pistes de l'inconscient/ Il y a des balises baveuses/ Toujours un peu se souvenant du frichti, de l'organe, du repu/ Mes plus beaux souvenirs sont d'une autre planète/ Où les bouchers vendaient de l'homme à la criée/ Moi, je suis de la race ferroviaire qui regarde passer les vaches/ Si on ne mangeait pas les vaches, les moutons et les restes/ Nous ne connaîtrions ni les vaches, ni les moutons, ni les restes/ Au bout du compte, on nous élève pour nous becqueter/ Alors, becquetons! »
Combien sont-ils à nous montrer le droit chemin journalistique en le bafouant à longueur de publications ? Et d’autres, ont-ils une légitimité à nous donner des leçons lorsqu’ils ne jurent que par leur rage à se maintenir à des postes dans des instances enrobées de privilèges ruisselants ? Et il y a eu un débat musclé et une décision absurde. Comment et pourquoi ? Le « lendemain » prendra ses quartiers. Pour l’instant, c’est le Maroc du fait accompli qui se prononce. Parlementez, le résultat est là. Il y a recours, dit-on. Bon courage.