Pendant 10 jours, les aspirants street artistes sélectionnés sur dossier s’initieront au muralisme sous la houlette de leurs aînés à la faveur du Mur collectif, un laboratoire leur permettant de bénéficier de l’encadrement et des conseils de Ed Oner et Basec pour perfectionner leur technique et réaliser ensemble une fresque commune, indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Cette année, le festival fait la part belle à l’abstrait et à l’hyperréalisme en conviant des street artistes connus pour la délicatesse et la précision de leurs œuvres, ajoute le communiqué, notant que depuis sa création en 2015, les plus grands noms du muralisme national et international ont contribué à redonner un nouveau visage à la capitale, désormais parée d’une centaine de fresques.
A cet effet, douze murs éparpillés dans tout Rabat accueilleront douze artistes issus de huit pays différents : Alexis Diaz (Porto Rico), Nespoon (Pologne), Kartelovic (Allemagne), Facio (Argentine), HNRX (Autriche), Fikos (Grèce), Kaori Izumiya (Japon), Luogo Comune (Italie), Normal (Maroc), Majda Jarbili (Maroc), Houssam El Ghallal (Maroc) et Acoby (Maroc), précise le communiqué.
Poussant encore plus loin l’immersion dans l’univers du street art, Jidar propose cette année un nouveau rendez-vous, conçu comme un dialogue entre le monde urbain extérieur et l’espace intimiste d’une galerie d’art. Ce “OUT/IN” se décline en trois volets animés par l’artiste espagnol Txemy : une performance murale, une rencontre avec l’artiste et une exposition de peintures de petits formats à l’Atelier Ambigu.
L’échange et le partage sont également au cœur du programme de visites guidées qui a connu un grand succès lors de la précédente édition, indique le communiqué, faisant savoir que chaque week-end, les habitants de Rabat auront le choix entre deux parcours différents pour découvrir la genèse et les anecdotes de fabrication des œuvres murales qui font désormais partie du patrimoine culturel de la ville.
Par ailleurs, les Jidar talks accueilleront le public dans l’auditorium du Musée Mohammed VI pour discuter à bâtons rompus avec les street artistes de leur parcours.
Entretenant un lien organique avec la ville qui lui sert à la fois de décor et de support, Jidar se veut un festival profondément connecté à son environnement à travers des activités visant à créer une culture locale du Street art, tisser des liens avec les habitants, faire incuber les talents de demain, et favoriser l’émergence d’un écosystème pérenne.
Cette année, le festival fait la part belle à l’abstrait et à l’hyperréalisme en conviant des street artistes connus pour la délicatesse et la précision de leurs œuvres, ajoute le communiqué, notant que depuis sa création en 2015, les plus grands noms du muralisme national et international ont contribué à redonner un nouveau visage à la capitale, désormais parée d’une centaine de fresques.
A cet effet, douze murs éparpillés dans tout Rabat accueilleront douze artistes issus de huit pays différents : Alexis Diaz (Porto Rico), Nespoon (Pologne), Kartelovic (Allemagne), Facio (Argentine), HNRX (Autriche), Fikos (Grèce), Kaori Izumiya (Japon), Luogo Comune (Italie), Normal (Maroc), Majda Jarbili (Maroc), Houssam El Ghallal (Maroc) et Acoby (Maroc), précise le communiqué.
Poussant encore plus loin l’immersion dans l’univers du street art, Jidar propose cette année un nouveau rendez-vous, conçu comme un dialogue entre le monde urbain extérieur et l’espace intimiste d’une galerie d’art. Ce “OUT/IN” se décline en trois volets animés par l’artiste espagnol Txemy : une performance murale, une rencontre avec l’artiste et une exposition de peintures de petits formats à l’Atelier Ambigu.
L’échange et le partage sont également au cœur du programme de visites guidées qui a connu un grand succès lors de la précédente édition, indique le communiqué, faisant savoir que chaque week-end, les habitants de Rabat auront le choix entre deux parcours différents pour découvrir la genèse et les anecdotes de fabrication des œuvres murales qui font désormais partie du patrimoine culturel de la ville.
Par ailleurs, les Jidar talks accueilleront le public dans l’auditorium du Musée Mohammed VI pour discuter à bâtons rompus avec les street artistes de leur parcours.
Entretenant un lien organique avec la ville qui lui sert à la fois de décor et de support, Jidar se veut un festival profondément connecté à son environnement à travers des activités visant à créer une culture locale du Street art, tisser des liens avec les habitants, faire incuber les talents de demain, et favoriser l’émergence d’un écosystème pérenne.