L’IRT football, un gouffre, un chaos, une crise, une chute, une décadence, voici ce que le comité démissionnaire a légué à la commission provisoire constitué de malheureux « héréditaires ». Des dettes et rien que des dettes avec la « fuite » des sponsors qui ont préféré geler provisoirement leur sponsoring en attendant de voir surgir la transparence dans la gestion d’un club « moribond » avec une administration qui avance à « pas de tortue » devant l’ampleur des problèmes. Il n’y a pas d’argent pour engager un entraineur et une dizaine de CV des futurs candidats est en attente sur la table du directeur sportif.
Avec les moyens modestes disponibles, on parle incessamment de maintenir Jaâfar Rkik et son adjoint Abdelouahid Ben Kacem sur le banc de touche parce que leur contrat coûte moins cher. Mais avec quelle astuce car ni l’un ni l’autre ne peuvent occuper le banc de touche en tant qu’entraineur vue la non homologation de leurs diplômes. Ainsi, l’engagement quoique coûteux d’un nouvel coach, s’avère impératif. Les deux techniciens formés en Belgique et en Hollande lui seront de grands atouts comme adjoints. Pour éviter des dépenses supplémentaires, il a été écrit sur cette même page que la commission provisoire n’aurait pas dû se séparer de Bernard Casoni et de son staff technique une opération ayant coûté 160 millions de centimes sans toutefois compter une somme similaire pour trouver un autre entraineur. Quel en est le motif donné : la faiblesse des résultats de l’équipe en championnat. De l’avis des journalistes, des connaisseurs en football et des anciens dirigeants, la crise de l’IRT sur le plan technique n’est autre que la conséquence du mauvais renfort car des huit footballeurs recrutés seul Hamoudane est valable, ce qui veut dire que les sept autres n’ont rien donné au onze aligné et du départ de Chibi le meilleur de l’effectif aux FAR.
L’on se souvient que Bernard Casoni avait fait un bon travail à Marseille et tout dernièrement au MCO d’Oujda. Avec la trêve du championnat que l’IRT attendait avec impatience pour redresser la situation et gagner la sympathie et la confiance de nouveaux sponsors, une mauvaise nouvelle vient de tomber comme un coup de foudre au bureau du directeur sportif : un message signé FIFA avec des sanctions inimaginables.
En effet, la première instance du football mondial a infligé une amende d’un million de dollars en devises convertibles pour plusieurs litiges de manque de respect de contrats ou résiliation présentés par les ex entraineurs, cadres techniques et joueurs. Un délai d’une semaine est accordé au comité pour la régularisation des paiements en instance soit plus d’un milliard de centimes. Au cas où la situation resterait sans solution pour manque d’argent, il y aurait un prélèvement de trois points (IRT - 3 pts) au classement du championnat actuel de la Botola I avec une éventuelle relégation en division inférieure pour non respect des clauses du professionnalisme. Une sanction financière similaire est arrivée en parallèle à l’IRT mais cette fois-ci émanant de la FRMF. Elle concerne le versement de 300 millions de centimes à Khaliki et à Oussama Gharib les deux ex IRT. Que dire de tout ce « remue-ménage » incompréhensif mais vrai ? Pourquoi les anciennes difficultés surgissent au « bon moment » celui de l’assainissement de la mauvaise situation laissée par le comité démissionnaire avec les efforts de la commission provisoire ? Qui a rouvert le dossier des litiges laissé dans l’oubli depuis bien longtemps ? Peut-on parler d’un sabotage ? Et le président sortant en est-il responsable ? Et l’assemblée générale extraordinaire quand aura-t-elle lieu ? Est-il temps de penser à la relève à la commission provisoire pour trouver un comité travaillant à long terme ? Si les dirigeants actuels ne sont point capables de prendre des décisions vue leur étiquette « provisoire » ne doivent-ils pas partir ? Autant de questions auxquelles il est difficile de répondre. Avec la multitude des problèmes, avec le gel des subventions des sponsors Renault, ABM et avec la suspension de l’aide annuelle du seul parrain l’ONDA, il est fort probable pour l’IRT de ne pas trouver un nouveau président.
Avec les moyens modestes disponibles, on parle incessamment de maintenir Jaâfar Rkik et son adjoint Abdelouahid Ben Kacem sur le banc de touche parce que leur contrat coûte moins cher. Mais avec quelle astuce car ni l’un ni l’autre ne peuvent occuper le banc de touche en tant qu’entraineur vue la non homologation de leurs diplômes. Ainsi, l’engagement quoique coûteux d’un nouvel coach, s’avère impératif. Les deux techniciens formés en Belgique et en Hollande lui seront de grands atouts comme adjoints. Pour éviter des dépenses supplémentaires, il a été écrit sur cette même page que la commission provisoire n’aurait pas dû se séparer de Bernard Casoni et de son staff technique une opération ayant coûté 160 millions de centimes sans toutefois compter une somme similaire pour trouver un autre entraineur. Quel en est le motif donné : la faiblesse des résultats de l’équipe en championnat. De l’avis des journalistes, des connaisseurs en football et des anciens dirigeants, la crise de l’IRT sur le plan technique n’est autre que la conséquence du mauvais renfort car des huit footballeurs recrutés seul Hamoudane est valable, ce qui veut dire que les sept autres n’ont rien donné au onze aligné et du départ de Chibi le meilleur de l’effectif aux FAR.
L’on se souvient que Bernard Casoni avait fait un bon travail à Marseille et tout dernièrement au MCO d’Oujda. Avec la trêve du championnat que l’IRT attendait avec impatience pour redresser la situation et gagner la sympathie et la confiance de nouveaux sponsors, une mauvaise nouvelle vient de tomber comme un coup de foudre au bureau du directeur sportif : un message signé FIFA avec des sanctions inimaginables.
En effet, la première instance du football mondial a infligé une amende d’un million de dollars en devises convertibles pour plusieurs litiges de manque de respect de contrats ou résiliation présentés par les ex entraineurs, cadres techniques et joueurs. Un délai d’une semaine est accordé au comité pour la régularisation des paiements en instance soit plus d’un milliard de centimes. Au cas où la situation resterait sans solution pour manque d’argent, il y aurait un prélèvement de trois points (IRT - 3 pts) au classement du championnat actuel de la Botola I avec une éventuelle relégation en division inférieure pour non respect des clauses du professionnalisme. Une sanction financière similaire est arrivée en parallèle à l’IRT mais cette fois-ci émanant de la FRMF. Elle concerne le versement de 300 millions de centimes à Khaliki et à Oussama Gharib les deux ex IRT. Que dire de tout ce « remue-ménage » incompréhensif mais vrai ? Pourquoi les anciennes difficultés surgissent au « bon moment » celui de l’assainissement de la mauvaise situation laissée par le comité démissionnaire avec les efforts de la commission provisoire ? Qui a rouvert le dossier des litiges laissé dans l’oubli depuis bien longtemps ? Peut-on parler d’un sabotage ? Et le président sortant en est-il responsable ? Et l’assemblée générale extraordinaire quand aura-t-elle lieu ? Est-il temps de penser à la relève à la commission provisoire pour trouver un comité travaillant à long terme ? Si les dirigeants actuels ne sont point capables de prendre des décisions vue leur étiquette « provisoire » ne doivent-ils pas partir ? Autant de questions auxquelles il est difficile de répondre. Avec la multitude des problèmes, avec le gel des subventions des sponsors Renault, ABM et avec la suspension de l’aide annuelle du seul parrain l’ONDA, il est fort probable pour l’IRT de ne pas trouver un nouveau président.