Depuis Yvan Audouard, l’on sait que “ les Musées sont des réservoirs de beauté » jamais taris. A travers cette rencontre entre l’art et l’homme, les musées ont déployé leurs joyaux qui mettent en lumière toute la richesse du patrimoine et les ressorts de créativité des maitres d’œuvre de collections artistiques inédites.
Organisée par la Fondation Nationale des Musées, la Fondation Jardin Majorelle et le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, la deuxième édition de la « Nuit des musées » s’est invitée à Rabat, capitale des lumières, comme pour rayonner avec plus d’éclat à travers l’espace et le temps pour célébrer le fait culturel, lors de rencontres dédiées, empreintes de sérénité, de convivialité et d’échanges éclectiques, comme s’y prête bien le cadre idéal des musées et des espaces culturels .
Cette année, l’événement s’est déployé avec les apparats d’une manifestation culturelle et artistique jaillissante des éclairs de créativité ; il a ainsi investi plus de 80 musées, galeries et espaces culturels qui ont ouvert leurs portes gratuitement, de 18h à minuit, dans 19 villes du Royaume, avec une programmation riche et variée.
Réunissant une pléiade de personnalités de divers horizons politiques et artistiques, la Nuit des musées représente une occasion pour promouvoir et valoriser les talents en verve et découvrir la richesse du patrimoine matériel et immatériel du Maroc sur la scène culturelle et artistique.
S’exprimant à cette occasion, dans l’enceinte du Musée national des bijoux des Oudayas, le chef du gouvernement a indiqué que « cette initiative vise à mettre en lumière les musées du Royaume qui regorgent de trésors inestimables faisant partie de notre patrimoine, et que les invités auront le loisir de découvrir pour apprendre davantage sur leur histoire ».
A travers des visites guidées et des animations fort édifiantes, les invités ont célébré en beauté le fait culturel en ce début de l’été. Ils ont déambulé à travers les salles d’exposition, à la découverte des objets archéologiques et ethnographiques ainsi d’œuvres artistiques de belle inspiration.
Le président de la Fondation nationale des musées, Mehdi Qotbi, a aussi exprimé sa joie de participer à cette manifestation non sans souligner la place importante et l’intérêt éminent qu’accorde SM le Roi Mohammed VI à la culture.
Dans le cadre de cette expérience muséale conviviale, l'écrivain Kebir Mustapha Ammi a présenté une conférence intitulée "Arts et Littérature", à l’auditorium du musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain de Rabat.
Mettant en jeu les influences réciproques entre l’art et la littérature, l’écrivain a usé avec brio de jeux de mots pour laisser à l’auditeur toute latitude d'interprétation à travers une conférence ludique qu’il a qualifié de causerie, pour interpeller le sens artistique de l’assistance dans une sorte de relation de complicité avec l’écrivain.
Cette rencontre culturelle fut aussi l’occasion pour l’écrivain de présenter son nouveau roman, "À la recherche de Glitter Faraday" qui nous mène du Maghreb avec les Black Panthers vers le sud des États-Unis sur fond du jazz qui semble donner le rythme à son roman.
Approché par le journal «L’Opinion», l'écrivain Kebir Mustapha Ammi a évoqué la dimension poétique de la dualité entre l'art et la littérature : " Les artistes et les écrivains appartiennent à ce même monde où on se pose des questions pour vivre, pour expliquer le monde, et pour avancer pour qu'il y ait moins de ténèbres. Pour que la lumière fuse, il faut qu'il y ait des artistes et des écrivains. "
Faire d’une peinture, une mise en scène, un acte, et penser ce qui fonde l’expérience du ressenti, voilà ce qui exerce un attrait sur les jeunes générations qui ont tout lieu d'être émerveillées par les grandes émotions qui les attendent.
Organisée par la Fondation Nationale des Musées, la Fondation Jardin Majorelle et le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, la deuxième édition de la « Nuit des musées » s’est invitée à Rabat, capitale des lumières, comme pour rayonner avec plus d’éclat à travers l’espace et le temps pour célébrer le fait culturel, lors de rencontres dédiées, empreintes de sérénité, de convivialité et d’échanges éclectiques, comme s’y prête bien le cadre idéal des musées et des espaces culturels .
Cette année, l’événement s’est déployé avec les apparats d’une manifestation culturelle et artistique jaillissante des éclairs de créativité ; il a ainsi investi plus de 80 musées, galeries et espaces culturels qui ont ouvert leurs portes gratuitement, de 18h à minuit, dans 19 villes du Royaume, avec une programmation riche et variée.
Réunissant une pléiade de personnalités de divers horizons politiques et artistiques, la Nuit des musées représente une occasion pour promouvoir et valoriser les talents en verve et découvrir la richesse du patrimoine matériel et immatériel du Maroc sur la scène culturelle et artistique.
S’exprimant à cette occasion, dans l’enceinte du Musée national des bijoux des Oudayas, le chef du gouvernement a indiqué que « cette initiative vise à mettre en lumière les musées du Royaume qui regorgent de trésors inestimables faisant partie de notre patrimoine, et que les invités auront le loisir de découvrir pour apprendre davantage sur leur histoire ».
A travers des visites guidées et des animations fort édifiantes, les invités ont célébré en beauté le fait culturel en ce début de l’été. Ils ont déambulé à travers les salles d’exposition, à la découverte des objets archéologiques et ethnographiques ainsi d’œuvres artistiques de belle inspiration.
Le président de la Fondation nationale des musées, Mehdi Qotbi, a aussi exprimé sa joie de participer à cette manifestation non sans souligner la place importante et l’intérêt éminent qu’accorde SM le Roi Mohammed VI à la culture.
Dans le cadre de cette expérience muséale conviviale, l'écrivain Kebir Mustapha Ammi a présenté une conférence intitulée "Arts et Littérature", à l’auditorium du musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain de Rabat.
Mettant en jeu les influences réciproques entre l’art et la littérature, l’écrivain a usé avec brio de jeux de mots pour laisser à l’auditeur toute latitude d'interprétation à travers une conférence ludique qu’il a qualifié de causerie, pour interpeller le sens artistique de l’assistance dans une sorte de relation de complicité avec l’écrivain.
Cette rencontre culturelle fut aussi l’occasion pour l’écrivain de présenter son nouveau roman, "À la recherche de Glitter Faraday" qui nous mène du Maghreb avec les Black Panthers vers le sud des États-Unis sur fond du jazz qui semble donner le rythme à son roman.
Approché par le journal «L’Opinion», l'écrivain Kebir Mustapha Ammi a évoqué la dimension poétique de la dualité entre l'art et la littérature : " Les artistes et les écrivains appartiennent à ce même monde où on se pose des questions pour vivre, pour expliquer le monde, et pour avancer pour qu'il y ait moins de ténèbres. Pour que la lumière fuse, il faut qu'il y ait des artistes et des écrivains. "
Faire d’une peinture, une mise en scène, un acte, et penser ce qui fonde l’expérience du ressenti, voilà ce qui exerce un attrait sur les jeunes générations qui ont tout lieu d'être émerveillées par les grandes émotions qui les attendent.
