"Dans le monde actuel, la durabilité n’est plus un choix, mais une nécessité perçue non seulement comme un enjeu environnemental mais aussi comme un moteur de compétitivité et d’innovation", a indiqué M.Benchaâboun qui intervenait lors d'une conférence sous le thème "Financement de l’Investissement : Quels mécanismes pour quels besoins ?".
Selon lui, cette dynamique s’étend au-delà des politiques publiques pour intégrer de plus en plus les stratégies des entreprises et des investisseurs, notant que la durabilité a fait sa transition d'une contrainte réglementaire à un axe stratégique porteur de croissance et de rentabilité à long terme.
"Cette évolution se distingue dans les secteurs de l’énergie renouvelable, où la baisse significative des coûts, notamment du solaire et de l’éolien, a permis de rendre ces solutions compétitives face aux énergies fossiles", a-t-il souligné, précisant qu’entre 2010 et 2025, les coûts de l'énergie solaire photovoltaïque ont été réduits de près de 80%.
Les investissements privés se sont de plus en plus orientés vers des projets durables, attirés par la rentabilité à long terme et les opportunités offertes par la transition énergétique, a relevé le responsable.
Pour le Maroc, ces dynamiques présentent des atouts importants, a fait remarquer M. Benchaâboun, mettant en exergue les ressources solaires et éoliennes abondantes et de qualité, ainsi que la position géographique stratégique du Royaume.
"Ces avantages, couplés à une volonté politique claire, ouvrent la voie à des investissements étrangers dans le secteur des énergies renouvelables, en particulier l’hydrogène vert", a-t-il affirmé.
Cependant, pour que ces projets se concrétisent, il a recommandé de renforcer les infrastructures et de développer des zones industrielles pour attirer davantage de capitaux étrangers, évoquant, dans ce sens, la nécessité de mobiliser des financements internationaux et d’établir des partenariats avec des acteurs mondiaux.
Organisée par l'Ecole Nationale Supérieure de L'administration, en partenariat avec l’Ordre des experts-comptables, cette conférence rassemble des décideurs publics, des acteurs du secteur privé ainsi que des universitaires et experts pour une réflexion commune sur les leviers de financement de l'investissement.
Selon lui, cette dynamique s’étend au-delà des politiques publiques pour intégrer de plus en plus les stratégies des entreprises et des investisseurs, notant que la durabilité a fait sa transition d'une contrainte réglementaire à un axe stratégique porteur de croissance et de rentabilité à long terme.
"Cette évolution se distingue dans les secteurs de l’énergie renouvelable, où la baisse significative des coûts, notamment du solaire et de l’éolien, a permis de rendre ces solutions compétitives face aux énergies fossiles", a-t-il souligné, précisant qu’entre 2010 et 2025, les coûts de l'énergie solaire photovoltaïque ont été réduits de près de 80%.
Les investissements privés se sont de plus en plus orientés vers des projets durables, attirés par la rentabilité à long terme et les opportunités offertes par la transition énergétique, a relevé le responsable.
Pour le Maroc, ces dynamiques présentent des atouts importants, a fait remarquer M. Benchaâboun, mettant en exergue les ressources solaires et éoliennes abondantes et de qualité, ainsi que la position géographique stratégique du Royaume.
"Ces avantages, couplés à une volonté politique claire, ouvrent la voie à des investissements étrangers dans le secteur des énergies renouvelables, en particulier l’hydrogène vert", a-t-il affirmé.
Cependant, pour que ces projets se concrétisent, il a recommandé de renforcer les infrastructures et de développer des zones industrielles pour attirer davantage de capitaux étrangers, évoquant, dans ce sens, la nécessité de mobiliser des financements internationaux et d’établir des partenariats avec des acteurs mondiaux.
Organisée par l'Ecole Nationale Supérieure de L'administration, en partenariat avec l’Ordre des experts-comptables, cette conférence rassemble des décideurs publics, des acteurs du secteur privé ainsi que des universitaires et experts pour une réflexion commune sur les leviers de financement de l'investissement.