"Tout est prêt pour ce projet. En tant que fabricants, nous attendons le feu vert de notre partenaire marocain Panafsat pour entamer la production", nous a déclaré M. Levy. "Cette production débutera très probablement au cours de l'année 2025, pour une entrée en service en 2030", a-t-il ajouté.
"Les autorités marocaines ont fait preuve d’une collaboration étroite et rigoureuse pour la concrétisation de ce projet ambitieux", s’est félicité le directeur de Thales au Maroc.
Un seul satellite géostationnaire peut couvrir près d'un tiers de la surface terrestre, ce qui justifie l’ambition de ce projet maroco-français visant à fournir une connectivité à très haut débit à 26 pays africains, dont 23 pays francophones, couvrant ainsi une population de plus de 550 millions d’habitants répartis sur une superficie de 12 millions de km².
Thales Alenia Space a conçu et fabriqué plusieurs satellites géostationnaires dédiés à la fourniture d’une connexion Internet à haut débit, comme le EUTELSAT KONNECT VHTS, qui fournit un accès Internet à très haut débit partout en Europe, notamment dans les zones mal desservies, avec des performances comparables à celles de la fibre optique. Il en va de même pour le SATRIA-1, lancé en 2023, afin d’améliorer la connectivité de l'archipel indonésien en apportant une connexion Internet aux zones les plus isolées.
Le protocole d’accord entre l’opérateur marocain Panafsat (Panafrican Satellite Communications) et Thales Alenia Space pour la fabrication de ce satellite a été signé fin octobre 2024, dans le cadre de la visite d’État du président de la République française, Emmanuel Macron, au Royaume du Maroc, en présence de Nadia Fettah Alaoui, ministre marocaine de l’Économie et des Finances, et d’Antoine Armand, ministre français de l’Économie, des Finances et de l’Industrie.
Selon Yan Levy, le coût exact de ce projet n’a pas encore été révélé, mais il bénéficie d’un financement de la CDG, de plusieurs banques partenaires ainsi que du gouvernement marocain.
"Les autorités marocaines ont fait preuve d’une collaboration étroite et rigoureuse pour la concrétisation de ce projet ambitieux", s’est félicité le directeur de Thales au Maroc.
Un seul satellite géostationnaire peut couvrir près d'un tiers de la surface terrestre, ce qui justifie l’ambition de ce projet maroco-français visant à fournir une connectivité à très haut débit à 26 pays africains, dont 23 pays francophones, couvrant ainsi une population de plus de 550 millions d’habitants répartis sur une superficie de 12 millions de km².
Thales Alenia Space a conçu et fabriqué plusieurs satellites géostationnaires dédiés à la fourniture d’une connexion Internet à haut débit, comme le EUTELSAT KONNECT VHTS, qui fournit un accès Internet à très haut débit partout en Europe, notamment dans les zones mal desservies, avec des performances comparables à celles de la fibre optique. Il en va de même pour le SATRIA-1, lancé en 2023, afin d’améliorer la connectivité de l'archipel indonésien en apportant une connexion Internet aux zones les plus isolées.
Le protocole d’accord entre l’opérateur marocain Panafsat (Panafrican Satellite Communications) et Thales Alenia Space pour la fabrication de ce satellite a été signé fin octobre 2024, dans le cadre de la visite d’État du président de la République française, Emmanuel Macron, au Royaume du Maroc, en présence de Nadia Fettah Alaoui, ministre marocaine de l’Économie et des Finances, et d’Antoine Armand, ministre français de l’Économie, des Finances et de l’Industrie.
Selon Yan Levy, le coût exact de ce projet n’a pas encore été révélé, mais il bénéficie d’un financement de la CDG, de plusieurs banques partenaires ainsi que du gouvernement marocain.