L’Administration de la prison locale de Taounate a démenti, jeudi, les allégations d’un ancien détenu selon lesquelles il n’a reçu ni soins médicaux ni médicaments, précisant qu’il s’agit d’allégations fallacieuses visant à nuire à la réputation de l’institution pénitentiaire et à ses fonctionnaires.
Dans une mise au point en réponse à une vidéo diffusée sur YouTube, l’administration de la prison locale de Taounate relève que la diffusion de ces allégations par l’ancien détenu est une tentative de porter préjudice à la réputation de l’institution pénitentiaire et à ses fonctionnaires, d’autant plus que l’individu concerné était connu pour son comportement inapproprié.
L’institution pénitentiaire souligne que l’ex détenu en question a eu droit, depuis son incarcération, à 13 consultations médicales entre le 11 juillet 2019 et le 02 avril 2020, en plus de deux autres consultations spécialisées pour le système digestif à l’hôpital provincial de la ville, notant qu’il a également fait plusieurs analyses dont les résultats étaient “normaux” et a eu accès aux médicaments qui lui ont été prescrits par le médecin de l’institution pénitentiaire et le médecin externe.
Dans une mise au point en réponse à une vidéo diffusée sur YouTube, l’administration de la prison locale de Taounate relève que la diffusion de ces allégations par l’ancien détenu est une tentative de porter préjudice à la réputation de l’institution pénitentiaire et à ses fonctionnaires, d’autant plus que l’individu concerné était connu pour son comportement inapproprié.
L’institution pénitentiaire souligne que l’ex détenu en question a eu droit, depuis son incarcération, à 13 consultations médicales entre le 11 juillet 2019 et le 02 avril 2020, en plus de deux autres consultations spécialisées pour le système digestif à l’hôpital provincial de la ville, notant qu’il a également fait plusieurs analyses dont les résultats étaient “normaux” et a eu accès aux médicaments qui lui ont été prescrits par le médecin de l’institution pénitentiaire et le médecin externe.