Répondait à une question orale à la Chambre des conseillers, M. Laftit a fait savoir que ce programme, qui a été élaboré par son département avec ses partenaires, sera financé conjointement par le ministère de l'Intérieur (500 millions de dirhams), le ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime (250 MDH) et le ministère de l'Industrie et du Commerce (250 MDH).
Le ministre a souligné que ce programme "ambitieux" vise à surmonter les dysfonctionnements dans les souks hebdomadaires, à travers l'organisation des espaces d'activités économiques, la promotion des produits du terroir, le renforcement de la compétitivité et le développement durable, ainsi que l'amélioration de l'offre et des conditions de travail des commerçants et artisans, ainsi que celles d'accès pour les personnes qui fréquentent les souks, et ce dans un cadre participatif avec les deux ministères précités.
Parallèlement à ces mesures, a-t-il enchaîné, le ministère de l'Intérieur œuvre à l'accompagnement financier, technique et juridique des collectivités en vue de développer et de moderniser les installations et les services publics locaux à caractère commercial, notamment les souks hebdomadaires, notant que cet accompagnement "s'inscrit dans une nouvelle vision de réforme, fondée sur un ensemble de principes à même de moderniser ces installations et à améliorer leurs prestations et à développer les méthodes de leur gestion".
Selon le ministre, le nombre des souks hebdomadaires s'élève à 822 souks, dont 753 en milieu rural et 69 en périmètre urbain.
Par ailleurs, M. Laftit a fait état de plus de 400 MDH de recettes générées par les marchés de gros au niveau des collectivités territoriales, alors que leur chiffre d'affaires atteint 7 MMDH, expliquant que le nombre de marchés de gros officiels de légumes et de fruits au Maroc s'élève à 30 marchés structurés, en plus de huit marchés parallèles non structurés.
Et de souligner que le ministère de l'Intérieur se penche sur l'élaboration d'un cadre juridique pour les marchés de gros qui vise à réglementer leur création et leur réhabilitation, et à déterminer les équipements et services nécessaires qui doivent y être fournis, tout en dépassant les modèles de gestion actuels qui contribuent à l'exacerbation des problèmes que connaît le secteur, en adoptant des méthodes modernes de gestion.
Le ministre a souligné que ce programme "ambitieux" vise à surmonter les dysfonctionnements dans les souks hebdomadaires, à travers l'organisation des espaces d'activités économiques, la promotion des produits du terroir, le renforcement de la compétitivité et le développement durable, ainsi que l'amélioration de l'offre et des conditions de travail des commerçants et artisans, ainsi que celles d'accès pour les personnes qui fréquentent les souks, et ce dans un cadre participatif avec les deux ministères précités.
Parallèlement à ces mesures, a-t-il enchaîné, le ministère de l'Intérieur œuvre à l'accompagnement financier, technique et juridique des collectivités en vue de développer et de moderniser les installations et les services publics locaux à caractère commercial, notamment les souks hebdomadaires, notant que cet accompagnement "s'inscrit dans une nouvelle vision de réforme, fondée sur un ensemble de principes à même de moderniser ces installations et à améliorer leurs prestations et à développer les méthodes de leur gestion".
Selon le ministre, le nombre des souks hebdomadaires s'élève à 822 souks, dont 753 en milieu rural et 69 en périmètre urbain.
Par ailleurs, M. Laftit a fait état de plus de 400 MDH de recettes générées par les marchés de gros au niveau des collectivités territoriales, alors que leur chiffre d'affaires atteint 7 MMDH, expliquant que le nombre de marchés de gros officiels de légumes et de fruits au Maroc s'élève à 30 marchés structurés, en plus de huit marchés parallèles non structurés.
Et de souligner que le ministère de l'Intérieur se penche sur l'élaboration d'un cadre juridique pour les marchés de gros qui vise à réglementer leur création et leur réhabilitation, et à déterminer les équipements et services nécessaires qui doivent y être fournis, tout en dépassant les modèles de gestion actuels qui contribuent à l'exacerbation des problèmes que connaît le secteur, en adoptant des méthodes modernes de gestion.