Le quotidien de «La Rioja » a déclaré qu’aucune déclaration contre Brahim Ghali n’est émise à l’audience nationale. Jusqu’ici, l’information ne paraît que dans ce quotidien et aucune source officielle ne l’appuie.
De son côté, la chef de la diplomatie espagnole a déclaré, lors d'une conférence de presse, ce mardi, en réponse à la position du Maroc à son accueil de Ghali, qu'elle avait expliqué au Royaume les motifs «humanitaires» qui lui avaient fait recevoir le chef du front séparatiste. Et ce, tout en restant fidèle à l'engagement du gouvernement espagnol à la profondeur des relations stratégiques qu'il entretient avec le Maroc.
Laya a fait allusion à la possibilité que Ghali soit remis à la justice espagnole, et a déclaré que son accueil en Espagne se déroule «dans le respect de la loi, y compris la coopération avec la justice espagnole».
Le Maroc a exprimé ses regrets pour la position de l'Espagne, qui accueille sur son sol Ibrahim Ghali, chef de la milice séparatiste du Polisario, accusé d'avoir commis de graves crimes de guerre et de graves violations des droits de l'Homme, estimant qu'elle est incompatible avec l'esprit de partenariat et le bon voisinage, qui concerne une question fondamentale pour le peuple marocain.
De son côté, la chef de la diplomatie espagnole a déclaré, lors d'une conférence de presse, ce mardi, en réponse à la position du Maroc à son accueil de Ghali, qu'elle avait expliqué au Royaume les motifs «humanitaires» qui lui avaient fait recevoir le chef du front séparatiste. Et ce, tout en restant fidèle à l'engagement du gouvernement espagnol à la profondeur des relations stratégiques qu'il entretient avec le Maroc.
Laya a fait allusion à la possibilité que Ghali soit remis à la justice espagnole, et a déclaré que son accueil en Espagne se déroule «dans le respect de la loi, y compris la coopération avec la justice espagnole».
Le Maroc a exprimé ses regrets pour la position de l'Espagne, qui accueille sur son sol Ibrahim Ghali, chef de la milice séparatiste du Polisario, accusé d'avoir commis de graves crimes de guerre et de graves violations des droits de l'Homme, estimant qu'elle est incompatible avec l'esprit de partenariat et le bon voisinage, qui concerne une question fondamentale pour le peuple marocain.