Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, la candidature marocaine, élue à une écrasante majorité avec 121 voix pour, était en lice avec quinze autres candidatures pour l’un des neuf postes vacants au sein du Comité pour la période 2025-2028.
Cette réélection vient attester, une nouvelle fois, de la crédibilité et de la confiance dont jouit l’action du Royaume, sous la Haute vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, pour la promotion des droits de l’Homme et de leur effectivité, tant à travers les réformes démocratiques entreprises au niveau national, qu’à travers les initiatives qu’entreprend le Maroc sur le plan multilatéral dans ce domaine.
Ce succès électoral s’inscrit également dans le cadre de la stratégie que met en œuvre le Maroc, conformément aux Hautes Orientations Royales, pour mettre au service des organes onusiens son expertise et son expérience dans les différents domaines prioritaires de l’action multilatérale, en tant qu’acteur responsable et engagé de la communauté internationale.
Cette réélection vient couronner une importante campagne de promotion menée par l’ensemble de l’appareil diplomatique du Royaume.
M. El Haiba, actuellement professeur universitaire, jouit d’un long parcours dans le domaine des droits de l’Homme. Il a précédemment occupé les postes de secrétaire général du Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (devenu Conseil National des Droits de l’Homme) et de premier Délégué interministériel aux Droits de l’Homme.
Depuis sa première élection au Comité des Droits de l’Homme, M. El Haiba œuvre pour le renforcement des méthodes de travail de cet important organe conventionnel.
Le Comité des Droits de l’Homme, composé de dix-huit experts élus par les Etats Parties selon une répartition géographique équitable, est chargé de surveiller la mise en œuvre du Pacte international relatif aux droits civils et politiques par ces Etats, adopté en 1966.
Il s’agit d’un organe d’une importance centrale, compte tenu de son mandat d’examen des rapports des Etats Parties sur la mise en œuvre du Pacte, d’élaboration d’observations générales sur les obligations qui en découlent et d’examen de communications relatives aux violations de cet instrument.
Cette réélection vient attester, une nouvelle fois, de la crédibilité et de la confiance dont jouit l’action du Royaume, sous la Haute vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, pour la promotion des droits de l’Homme et de leur effectivité, tant à travers les réformes démocratiques entreprises au niveau national, qu’à travers les initiatives qu’entreprend le Maroc sur le plan multilatéral dans ce domaine.
Ce succès électoral s’inscrit également dans le cadre de la stratégie que met en œuvre le Maroc, conformément aux Hautes Orientations Royales, pour mettre au service des organes onusiens son expertise et son expérience dans les différents domaines prioritaires de l’action multilatérale, en tant qu’acteur responsable et engagé de la communauté internationale.
Cette réélection vient couronner une importante campagne de promotion menée par l’ensemble de l’appareil diplomatique du Royaume.
M. El Haiba, actuellement professeur universitaire, jouit d’un long parcours dans le domaine des droits de l’Homme. Il a précédemment occupé les postes de secrétaire général du Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (devenu Conseil National des Droits de l’Homme) et de premier Délégué interministériel aux Droits de l’Homme.
Depuis sa première élection au Comité des Droits de l’Homme, M. El Haiba œuvre pour le renforcement des méthodes de travail de cet important organe conventionnel.
Le Comité des Droits de l’Homme, composé de dix-huit experts élus par les Etats Parties selon une répartition géographique équitable, est chargé de surveiller la mise en œuvre du Pacte international relatif aux droits civils et politiques par ces Etats, adopté en 1966.
Il s’agit d’un organe d’une importance centrale, compte tenu de son mandat d’examen des rapports des Etats Parties sur la mise en œuvre du Pacte, d’élaboration d’observations générales sur les obligations qui en découlent et d’examen de communications relatives aux violations de cet instrument.