Le consortium dont l’objectif est de développer la recherche nucléaire vise les marchés marocain et africain, comme déclaré par M. Aziz Rabbah, ministre de l’Energie, des Mines et de l’Environnement. Il repose sur 3 niveaux : la formation, la recherche scientifique et l’industrialisation. La convention permet de former ce consortium et constitue une feuille de route en matière de recherche. Le but est d’aller vers la production et l’industrialisation. Le partenariat est stratégique, sachant qu’il y a plusieurs sociétés françaises implantées au Maroc, 110 entreprises américaines et des accords avec le Canada.
Cette reconnaissance internationale pour le CNESTEN s’ajoute à celle de l’Agence internationale des énergies nucléaires. Ce centre de référence étant une plate-forme reconnue et demandée par tous les centres de recherche.
Production des radiopharmaceutiques
L’accord a été signé avec 3 partenaires de renom, au niveau de la médecine nucléaire et de l’industrie pharmaceutique, a déclaré à « L’Opinion » M. Khalid Mediouri, Directeur général du CNESTEN. « L’objectif que se fixent ces quatre institutions, c’est de contribuer au développement de la médecine nucléaire. Cette dernière étant basée aujourd’hui sur l’utilisation des produits radiopharmaceutiques qui ont beaucoup de contraintes. Notamment en termes de capacité de production, très limitée, et de disponibilité de personnel qualifié».
Bouteina BENNANI
Cette reconnaissance internationale pour le CNESTEN s’ajoute à celle de l’Agence internationale des énergies nucléaires. Ce centre de référence étant une plate-forme reconnue et demandée par tous les centres de recherche.
Production des radiopharmaceutiques
L’accord a été signé avec 3 partenaires de renom, au niveau de la médecine nucléaire et de l’industrie pharmaceutique, a déclaré à « L’Opinion » M. Khalid Mediouri, Directeur général du CNESTEN. « L’objectif que se fixent ces quatre institutions, c’est de contribuer au développement de la médecine nucléaire. Cette dernière étant basée aujourd’hui sur l’utilisation des produits radiopharmaceutiques qui ont beaucoup de contraintes. Notamment en termes de capacité de production, très limitée, et de disponibilité de personnel qualifié».
Bouteina BENNANI