Oui. Selon les médias britanniques, le Maroc est considéré comme solution irréprochable pour le Royaume-Uni, en matière de la résilience énergétique. «Le Maroc est-il la réponse à la résilience énergétique du RoyaumeUni ?», c’est ainsi que le média FDIintelligence a titré un article publié hier lundi 22 août.
Cette constatation se fonde sur le fait que Xlinks -entreprise britannique- veut alimenter sept millions de foyers britanniques, à l’horizon 2030, avec de l’énergie verte en provenance du Maroc. Ce premier projet de l’entreprise consiste à générer 10,5 gigawatts (GW) d’énergie renouvelable au Maroc exclusivement pour le marché britannique. Le projet vise à fournir 26 térawattheures par an.
Le média a mis en exergue les capacités du Maroc en termes d’énergies renouvelables, et le solaire, l’éolien et l’hydraulique qui produisent 35 % du mix énergétique du pays, avec des objectifs visant à le porter à 50 % à l’horizon 2030 et à 80 % en 2050. Xlinks prévoit de déployer 3,5 GW d’éolien terrestre et 7 GW de solaire combiné à 20 gigawattheures de stockage, utilisant la technologie lithium-ion phosphate. Elle a déjà réalisé la majorité des études requises pour le site de 1500 km2 à Guelmim Oued Noun.
Dans une déclaration à FDIintelligence, Peter Osbaldstone, directeur de recherche sur l’énergie européenne et les énergies renouvelables chez Wood Mackenzie, a souligné les capacités de production et de stockage du pays. « C’est incroyablement excitant la production et le stockage d’énergies renouvelables en Afrique du Nord soutenant la décarbonisation de l’énergie européenne. C’est un mégaprojet avec un emplacement idéal pour l’éolien et le solaire, et les technologies matures signifient qu’il ne comporte pas beaucoup de risques du côté de l’offre», a-t-il déclaré.
L’équipe du projet Maroc a fait des progrès, les relevés géotechniques, topographiques et archéologiques sont terminés, et la majorité des études ont été achevées. Ensuite, Xlinks collecte des données granulaires en temps réel sur la production d’éoliennes, à partir de 15 mâts éoliens et de cinq stations météorologiques. La société étudie la stabilité des sédiments du fond marin et les sites archéologiques, pour minimiser l’impact. En outre, elle a développé un itinéraire de 15 km depuis la côte Nord du Devon (Angleterre) pour se connecter au réseau national, sous la direction de Natural England.
Cette constatation se fonde sur le fait que Xlinks -entreprise britannique- veut alimenter sept millions de foyers britanniques, à l’horizon 2030, avec de l’énergie verte en provenance du Maroc. Ce premier projet de l’entreprise consiste à générer 10,5 gigawatts (GW) d’énergie renouvelable au Maroc exclusivement pour le marché britannique. Le projet vise à fournir 26 térawattheures par an.
Le média a mis en exergue les capacités du Maroc en termes d’énergies renouvelables, et le solaire, l’éolien et l’hydraulique qui produisent 35 % du mix énergétique du pays, avec des objectifs visant à le porter à 50 % à l’horizon 2030 et à 80 % en 2050. Xlinks prévoit de déployer 3,5 GW d’éolien terrestre et 7 GW de solaire combiné à 20 gigawattheures de stockage, utilisant la technologie lithium-ion phosphate. Elle a déjà réalisé la majorité des études requises pour le site de 1500 km2 à Guelmim Oued Noun.
Dans une déclaration à FDIintelligence, Peter Osbaldstone, directeur de recherche sur l’énergie européenne et les énergies renouvelables chez Wood Mackenzie, a souligné les capacités de production et de stockage du pays. « C’est incroyablement excitant la production et le stockage d’énergies renouvelables en Afrique du Nord soutenant la décarbonisation de l’énergie européenne. C’est un mégaprojet avec un emplacement idéal pour l’éolien et le solaire, et les technologies matures signifient qu’il ne comporte pas beaucoup de risques du côté de l’offre», a-t-il déclaré.
L’équipe du projet Maroc a fait des progrès, les relevés géotechniques, topographiques et archéologiques sont terminés, et la majorité des études ont été achevées. Ensuite, Xlinks collecte des données granulaires en temps réel sur la production d’éoliennes, à partir de 15 mâts éoliens et de cinq stations météorologiques. La société étudie la stabilité des sédiments du fond marin et les sites archéologiques, pour minimiser l’impact. En outre, elle a développé un itinéraire de 15 km depuis la côte Nord du Devon (Angleterre) pour se connecter au réseau national, sous la direction de Natural England.