Une amende de 5300 euros pour un nul !
Le sulfureux président du Zamalek, Mourtada Mansour a encore frappé ! Alors que son équipe a été rejoint au score au temps additionnel contre l'Itihad d'Alexandrie (1-1) lors du deuxième match après la reprise du championnat égyptien, le fameux dirigeant a vu rouge et a décidé de sanctionner les joueurs.
Il leur a infligé une amende de 5 300 euros à chacun. Cette défaite coûte cher au Zamalek qui perd la deuxième place au classement général au profit du Pyramids à la différence de buts laquelle place est qualifiante à la Ligue Des Champions, la première place est déjà acquise par El Ahly qui sera champion sans aucun doute. Ce n’est qu’une question de temps.
Une équipe en doute !
Lors de ce match, la prestation du Zamalek n’a pas du tout été rassurante ce qui a mis le président du club hors de lui au point d’annoncer la sanction juste quelques minutes après le sifflet final. Les joueurs n’ont pas apprécié la sortie médiatique de leur fameux président connu pour ses frasques et ses sorties agressives. Le manager de Zamalek, qui n’est autre que le fils du président, est intervenu pour calmer « le jeu » promettant aux joueurs de faire le nécessaire pour suspendre la décision prise par son père ,le président Mourtada !
Les 2 marocains remplaçants
Au cours de ce match, les deux marocains Bencharki et Ounajem étaient sur le banc et ont rejoint le jeu que lors de la seconde mi-temps. Ils n’avaient pas participé au premier match. Ils n’avaient pas pris part à la phase préparatoire car ils avaient été bloqués au Maroc suite à la fermeture des frontières.
Les Zamalkaouis inquiets !
N’ayant plus aucune chance pour gagner le trophée de champion d’Egypte, Les Zamalkaouis font de la Ligue des Champions leur priorité. Pour cela ils devront se défaire du Raja .Or, suivant et scrutant de près les matchs du Raja, ils se font beaucoup de soucis. Ils ont chaud. L’inquiétude et la pression montent chez eux. Au moment où le Raja est impressionnant, leur équipe est moribonde. Elle balbutie et inquiète. Patrice Carteron a du mal à former un collectif compétitif capable de tenir tête au Raja. Le Zamalek vit la même situation que le Wydad. Le club n’arrive pas à retrouver ses qualités et son volume de jeu d’avant le confinement et la suspension de la compétition.
Carteron pense «Sellami» et « Raja » !
Patrice Carteron dort, rêve et pense « Sellami » et « Raja » ! Pour lui, les matchs de la compétition ne sont plus que des matchs de préparation. Des matchs « provas », une sorte de répétition avant le Match avec un grand M: Raja/Zamalek. Etudier le jeu rajaoui, l’analyser, prévoir les solutions qui mèneront son club à la finale de la ligue, c’est ce qui fait la vie du coach F. Carteron. Il sait que ce ne sera pas facile
Le sulfureux président du Zamalek, Mourtada Mansour a encore frappé ! Alors que son équipe a été rejoint au score au temps additionnel contre l'Itihad d'Alexandrie (1-1) lors du deuxième match après la reprise du championnat égyptien, le fameux dirigeant a vu rouge et a décidé de sanctionner les joueurs.
Il leur a infligé une amende de 5 300 euros à chacun. Cette défaite coûte cher au Zamalek qui perd la deuxième place au classement général au profit du Pyramids à la différence de buts laquelle place est qualifiante à la Ligue Des Champions, la première place est déjà acquise par El Ahly qui sera champion sans aucun doute. Ce n’est qu’une question de temps.
Une équipe en doute !
Lors de ce match, la prestation du Zamalek n’a pas du tout été rassurante ce qui a mis le président du club hors de lui au point d’annoncer la sanction juste quelques minutes après le sifflet final. Les joueurs n’ont pas apprécié la sortie médiatique de leur fameux président connu pour ses frasques et ses sorties agressives. Le manager de Zamalek, qui n’est autre que le fils du président, est intervenu pour calmer « le jeu » promettant aux joueurs de faire le nécessaire pour suspendre la décision prise par son père ,le président Mourtada !
Les 2 marocains remplaçants
Au cours de ce match, les deux marocains Bencharki et Ounajem étaient sur le banc et ont rejoint le jeu que lors de la seconde mi-temps. Ils n’avaient pas participé au premier match. Ils n’avaient pas pris part à la phase préparatoire car ils avaient été bloqués au Maroc suite à la fermeture des frontières.
Les Zamalkaouis inquiets !
N’ayant plus aucune chance pour gagner le trophée de champion d’Egypte, Les Zamalkaouis font de la Ligue des Champions leur priorité. Pour cela ils devront se défaire du Raja .Or, suivant et scrutant de près les matchs du Raja, ils se font beaucoup de soucis. Ils ont chaud. L’inquiétude et la pression montent chez eux. Au moment où le Raja est impressionnant, leur équipe est moribonde. Elle balbutie et inquiète. Patrice Carteron a du mal à former un collectif compétitif capable de tenir tête au Raja. Le Zamalek vit la même situation que le Wydad. Le club n’arrive pas à retrouver ses qualités et son volume de jeu d’avant le confinement et la suspension de la compétition.
Carteron pense «Sellami» et « Raja » !
Patrice Carteron dort, rêve et pense « Sellami » et « Raja » ! Pour lui, les matchs de la compétition ne sont plus que des matchs de préparation. Des matchs « provas », une sorte de répétition avant le Match avec un grand M: Raja/Zamalek. Etudier le jeu rajaoui, l’analyser, prévoir les solutions qui mèneront son club à la finale de la ligue, c’est ce qui fait la vie du coach F. Carteron. Il sait que ce ne sera pas facile