Même défait lors de son match « retour » contre l’Etoile du Sahel, le WAC rejoint les qualifiés aux demi-finales de la Ligue des Champions, version 2019-2020, que sont le Zamalek, Al Ahly d’Egypte et le Raja de Casablanca.
C’est la première fois qu’à ce stade des confrontations maroco-égyp-tienne émaillent le programme de la reine des compétions africaines. Des quarts de finale sulfureux, il n’en reste que des souvenirs avec leurs joies et leurs déceptions. Il faut reconnaitre que tous ces quarts de finale étaient des finales avant la lettre. Raja-TP. Mazembe, Espérance de Tunis-Zamalek, Al Ahly-Mamelodi Sundowns et enfin Wydad-Etoile Sportive du Sahel. Mais l’ambition, comme le Zamalek, la détermination, comme le WAC, l’outrecuidance comme le TP Mazembe et la confiance comme le Raja ont permis à certains de passer et à d’autres de suivre les demi-finales voire la finale devant leurs postes de télé.
C’est la première fois qu’à ce stade des confrontations maroco-égyp-tienne émaillent le programme de la reine des compétions africaines. Des quarts de finale sulfureux, il n’en reste que des souvenirs avec leurs joies et leurs déceptions. Il faut reconnaitre que tous ces quarts de finale étaient des finales avant la lettre. Raja-TP. Mazembe, Espérance de Tunis-Zamalek, Al Ahly-Mamelodi Sundowns et enfin Wydad-Etoile Sportive du Sahel. Mais l’ambition, comme le Zamalek, la détermination, comme le WAC, l’outrecuidance comme le TP Mazembe et la confiance comme le Raja ont permis à certains de passer et à d’autres de suivre les demi-finales voire la finale devant leurs postes de télé.
Le Wydad a résisté à la tempête
Les Rouges marocains savaient que le match « retour » contre l’ESS ne sera pas de tout repos. Effectivement, d’entrée de match, les Tunisiens allaient imposer un pressing d’enfer aux Marocains. Les Casablancais, ces cinq dernières années, ont acquis une telle expérience qu’il faut vraiment compter avec eux aussi bien à Casablanca où ils son, pratiquement, imbattables, qu’en dehors des frontières du Maroc où ils gèrent leurs matches avec maestria.
Ils ont atteint la finale la saison passée et ont été champions en 2017. Par cette victoire, le Wydad se venge en quelque sorte de Radès où il fut privé d’un titre certain contre l’Espérance lors du match qu’on sait. Force est de reconnaître que la présence de Juan Carlos Garrido sur le banc des Rouges leur a donné beaucoup de confiance ; d’autant plus que l’Espagnol connaissait l’ESS pour les avoir entraîner une moitié de cette saison avant de changer de camp pour le WAC.
Certes, c’est un entraîneur imprévisible, belliqueux, mais très ferme dans ses décisions quitte à perdre. Et le Wydad avait été un peu laissé hors de la discipline avec le Serbe Zoran Majno-lovic et encore plus avec le Français Sebastien Serge Louis Desabre. Le public des Rouges, voyant que les choses n’allaient pas dans le sens qu’il voulait, lança un appel au pré-sident Saïd Naciri qui mit un plan d’urgence qui finit par la solution « Garrido ».
Le WAC connaissait bien l’Espagnol pour l’avoir vu à l’oeuvre avec le Raja de Casablanca et les résultats qui ont découlé de cette union.La première sortie de l’entraineur ibérique avec le prestigieux club bidaoui était concluante. Le résultat était une victoire incontestable à l’aller et une qualification arrachée de Radès. Zéro faute pour l’Espagnol.
Ils ont atteint la finale la saison passée et ont été champions en 2017. Par cette victoire, le Wydad se venge en quelque sorte de Radès où il fut privé d’un titre certain contre l’Espérance lors du match qu’on sait. Force est de reconnaître que la présence de Juan Carlos Garrido sur le banc des Rouges leur a donné beaucoup de confiance ; d’autant plus que l’Espagnol connaissait l’ESS pour les avoir entraîner une moitié de cette saison avant de changer de camp pour le WAC.
Certes, c’est un entraîneur imprévisible, belliqueux, mais très ferme dans ses décisions quitte à perdre. Et le Wydad avait été un peu laissé hors de la discipline avec le Serbe Zoran Majno-lovic et encore plus avec le Français Sebastien Serge Louis Desabre. Le public des Rouges, voyant que les choses n’allaient pas dans le sens qu’il voulait, lança un appel au pré-sident Saïd Naciri qui mit un plan d’urgence qui finit par la solution « Garrido ».
Le WAC connaissait bien l’Espagnol pour l’avoir vu à l’oeuvre avec le Raja de Casablanca et les résultats qui ont découlé de cette union.La première sortie de l’entraineur ibérique avec le prestigieux club bidaoui était concluante. Le résultat était une victoire incontestable à l’aller et une qualification arrachée de Radès. Zéro faute pour l’Espagnol.