Le ministre a précisé que le recensement national du cheptel, récemment achevé, est encore en phase finale d'analyse des données. Les résultats préliminaires confirment la perte significative de 38% depuis le dernier recensement en 2016.
Cette baisse drastique a fortement impacté le secteur des viandes rouges, entraînant une augmentation sans précédent des prix. En période normale, jusqu'à 230 000 têtes étaient abattues annuellement, contre seulement environ 130 000 actuellement.
Pour remédier à cette situation, le ministère a mis en place plusieurs mesures, telles que l'exonération de TVA sur les importations de bêtes destinées à l'abattage et de viandes rouges fraîches.
"Au cours des deux premiers mois de cette année, une augmentation des importations a été observée par rapport à la même période l'année précédente. À la date du 12 février, 21 800 bovins, 124 000 ovins et 704 000 tonnes de viandes rouges ont été importés", a indiqué le ministre.
Ahmed El Bouari a souligné que ces mesures ont permis de créer un certain équilibre et de réduire légèrement les prix des viandes bovines. Il a également mis en lumière les importantes différences de prix entre les abattoirs et le marché de détail.
Face à la diminution du cheptel, le ministère prévoit de mettre en œuvre un programme complet de subventions pour la production animale, axé sur six principaux domaines : alimentation, encadrement technique, santé animale, préservation des femelles pour repeupler le cheptel, et soutien aux petits éleveurs dans les zones défavorisées.
Un programme dédié aux jeunes du monde rural est également en préparation, visant à subventionner des projets de production animale dans le cadre du projet de plan gouvernemental pour l'emploi qui a été dévoilé à l'issue de ce Conseil de gouvernement.
Cette baisse drastique a fortement impacté le secteur des viandes rouges, entraînant une augmentation sans précédent des prix. En période normale, jusqu'à 230 000 têtes étaient abattues annuellement, contre seulement environ 130 000 actuellement.
Pour remédier à cette situation, le ministère a mis en place plusieurs mesures, telles que l'exonération de TVA sur les importations de bêtes destinées à l'abattage et de viandes rouges fraîches.
"Au cours des deux premiers mois de cette année, une augmentation des importations a été observée par rapport à la même période l'année précédente. À la date du 12 février, 21 800 bovins, 124 000 ovins et 704 000 tonnes de viandes rouges ont été importés", a indiqué le ministre.
Ahmed El Bouari a souligné que ces mesures ont permis de créer un certain équilibre et de réduire légèrement les prix des viandes bovines. Il a également mis en lumière les importantes différences de prix entre les abattoirs et le marché de détail.
Face à la diminution du cheptel, le ministère prévoit de mettre en œuvre un programme complet de subventions pour la production animale, axé sur six principaux domaines : alimentation, encadrement technique, santé animale, préservation des femelles pour repeupler le cheptel, et soutien aux petits éleveurs dans les zones défavorisées.
Un programme dédié aux jeunes du monde rural est également en préparation, visant à subventionner des projets de production animale dans le cadre du projet de plan gouvernemental pour l'emploi qui a été dévoilé à l'issue de ce Conseil de gouvernement.