Meta, la maison mère de Facebook et Instagram, régulièrement accusée de nuire à la santé mentale du jeune public, a décidé cette semaine de supprimer le genre comme option de ciblage pour les entreprises qui proposent des publicités aux adolescents et aux jeunes des plateformes du groupe californien.
Elle fera son entrée en vigueur le mois prochain et limitera le ciblage. Ce ciblage sera de plus en plus restreint et va se limiter à l’âge et à la localisation. Quelques mois seulement après la fin de son ciblage des adolescents en fonction de leurs centres d’intérêt et de leurs activités, l’entreprise a adopté une nouvelle mesure pour veiller à la protection du jeune public sur la plateforme des publicités.
La question du genre (ou sexe) en publicité est le plus souvent posée à travers celle du sexisme ou de l'exploitation des jeunes. Le traitement différentiel des hommes et des femmes dans les messages commerciaux est accusé de reproduire des images inégalitaires des deux sexes, et aussi d’affecter la sensibilité des adolescents.
Ainsi, cette nouvelle initiative fera en sorte de bannir cette option de consommation passive qui permettait aux annonceurs de toucher les adolescents, et ce, dès le mois de février.
Dans ce même sillage, Meta restreint un peu plus les ressorts dont disposent les annonceurs pour cibler les jeunes utilisateurs d’Instagram ou de Facebook.
La firme américaine avait d’ailleurs déjà interdit aux annonceurs de connaître l’historique des adolescents sur d’autres sites en 2021.
L’âge et la localisation seront donc les seules informations appartenant au groupe Meta mises à disposition de tous les annonceurs. L’entreprise a indiqué que ces deux données « nous aident à continuer à nous assurer que les jeunes voient des publicités adaptées à leur âge et aux produits et services disponibles là où ils vivent ».
Ce contrôle renforcé des annonces destinées aux jeunes utilisateurs, va permettre de limiter les atteintes à leur vie privée et à l’influence à laquelle ils étaient exposés.
Les utilisateurs pourront dorénavant accéder à leurs préférences publicitaires depuis les paramètres de Facebook et d’Instagram, et pourront faire le choix de moins voir tel ou tel type d’annonces, ou déclarer qu’ils n’ont aucune préférence.
Au mois de mars, les adolescents disposeront de davantage de moyens de gérer les types de publicités qu’ils recevront sur les réseaux sociaux de Mark Zuckerberg, grâce aux contrôles publicitaires.
Le groupe prévoit ainsi de laisser plus facilement les moins de 18 ans indiquer quand ils souhaitent recevoir moins de publicités sur des sujets particuliers dans les jours à venir.
Elle fera son entrée en vigueur le mois prochain et limitera le ciblage. Ce ciblage sera de plus en plus restreint et va se limiter à l’âge et à la localisation. Quelques mois seulement après la fin de son ciblage des adolescents en fonction de leurs centres d’intérêt et de leurs activités, l’entreprise a adopté une nouvelle mesure pour veiller à la protection du jeune public sur la plateforme des publicités.
La question du genre (ou sexe) en publicité est le plus souvent posée à travers celle du sexisme ou de l'exploitation des jeunes. Le traitement différentiel des hommes et des femmes dans les messages commerciaux est accusé de reproduire des images inégalitaires des deux sexes, et aussi d’affecter la sensibilité des adolescents.
Ainsi, cette nouvelle initiative fera en sorte de bannir cette option de consommation passive qui permettait aux annonceurs de toucher les adolescents, et ce, dès le mois de février.
Dans ce même sillage, Meta restreint un peu plus les ressorts dont disposent les annonceurs pour cibler les jeunes utilisateurs d’Instagram ou de Facebook.
La firme américaine avait d’ailleurs déjà interdit aux annonceurs de connaître l’historique des adolescents sur d’autres sites en 2021.
L’âge et la localisation seront donc les seules informations appartenant au groupe Meta mises à disposition de tous les annonceurs. L’entreprise a indiqué que ces deux données « nous aident à continuer à nous assurer que les jeunes voient des publicités adaptées à leur âge et aux produits et services disponibles là où ils vivent ».
Ce contrôle renforcé des annonces destinées aux jeunes utilisateurs, va permettre de limiter les atteintes à leur vie privée et à l’influence à laquelle ils étaient exposés.
Les utilisateurs pourront dorénavant accéder à leurs préférences publicitaires depuis les paramètres de Facebook et d’Instagram, et pourront faire le choix de moins voir tel ou tel type d’annonces, ou déclarer qu’ils n’ont aucune préférence.
Au mois de mars, les adolescents disposeront de davantage de moyens de gérer les types de publicités qu’ils recevront sur les réseaux sociaux de Mark Zuckerberg, grâce aux contrôles publicitaires.
Le groupe prévoit ainsi de laisser plus facilement les moins de 18 ans indiquer quand ils souhaitent recevoir moins de publicités sur des sujets particuliers dans les jours à venir.