Le Raja est en feu et en crise. Le Comité se fissure. Son secrétaire général Anis Mahfoud a démissionné. Salim Cheikh, responsable du volet de Développement Commercial, Marketing et Digital, serait lui aussi démissionnaire. D’autres membres du Comité s’apprêteraient à déposer leurs démissions. La raison : le maintien de Sellami.
Pourtant le problème semblait régler. Sellami n’était et n’est pas contre la séparation. Il serait même souhaitable vu le contexte général devenu invivable et insupportable. Mais avant de partir, il réclame seulement ses arriérés financiers y compris sa prime de qualification à la finale de la Coupe arabe des clubs. Le Raja devrait verser à Sellami la somme de 2 000 000 dhs sans compter la prime de la qualification à la finale de la Coupe Mohammed VI. Or, le club est incapable de s’en acquitter.
Sellami et le président sont dos au mur. Le premier veut les salaires et primes impayés sans réclamer le paiement de ce qu’il pourrait recevoir pour rupture unilatérale du contrat liant les deux parties. Mais le second est incapable de répondre à la demande du premier. La conséquence : On a l’impression que Sellami est jeté à la vindicte des supporters et des ultras alors qu’il n’est que la victime d’une situation qui le dépasse et dont il n’est pas responsable. Il ne demande que ses mensualités et primes. On aurait dû les lui payer à temps ! Quelques parts, il y a un manque de responsabilité. Le président tente de passer en force dans le tas !
Pourtant le problème semblait régler. Sellami n’était et n’est pas contre la séparation. Il serait même souhaitable vu le contexte général devenu invivable et insupportable. Mais avant de partir, il réclame seulement ses arriérés financiers y compris sa prime de qualification à la finale de la Coupe arabe des clubs. Le Raja devrait verser à Sellami la somme de 2 000 000 dhs sans compter la prime de la qualification à la finale de la Coupe Mohammed VI. Or, le club est incapable de s’en acquitter.
Sellami et le président sont dos au mur. Le premier veut les salaires et primes impayés sans réclamer le paiement de ce qu’il pourrait recevoir pour rupture unilatérale du contrat liant les deux parties. Mais le second est incapable de répondre à la demande du premier. La conséquence : On a l’impression que Sellami est jeté à la vindicte des supporters et des ultras alors qu’il n’est que la victime d’une situation qui le dépasse et dont il n’est pas responsable. Il ne demande que ses mensualités et primes. On aurait dû les lui payer à temps ! Quelques parts, il y a un manque de responsabilité. Le président tente de passer en force dans le tas !