Le feuilleton ‘’Wydad –Kaizer’’ se poursuit. On assiste à un nouvel épisode avec un nouveau rebondissement auxquels, logiquement, il fallait s’y attendre. Le club sud-africain refuse la programmation du match vendredi prochain .Il énumère les raisons sur un communiqué paru sur sa page officielle :
-Le problème des visas :
- Le club estime que compte tenu du préavis de seulement 3 jours pour jouer le match, le club estime qu’il est difficile pour le staff administratif d’obtenir les visas auprès de l’ambassade de l’Egypte car il faudra au moins sept jours ouvrables pour les obtenir.
La non-disponibilité des vols :
-L’autre obstacle avancé par Kaizer Chiefs est la non- disponibilité des vols en raison de la rareté des compagnies aériennes opérationnelles en cette période de crise sanitaires.
L’impact négatif sur les échéances à venir :
-Ces difficultés logistiques et administratives impacteront négativement la préparation des deux prochains matchs du club en Ligue des Champions prévus le 23 février et le 5 mars. De plus, le club sudafricain préfère dans l’immédiat se focaliser sur son match de ce mercredi 17 février dans face au AmaZulu dans le cadre du championnat sud-africain.
Une date au delà du 4 mars :
-Dans son communiqué, le club sud africain invite la CAF a revoir la programmation du match au à fixer une date au delà du 4 mars ; une date qui sera convenable et appropriée à toutes les parties concernées.
La CAF responsable avec préméditation !
-La décision prise par la CAF ne pouvait qu’aboutir cette situation. La décision de laisser à la partie marocaine uniquement 24heures pour trouver une sortie à la crise était une sorte nœud difficile à dénouer. C’était voulu et prémédité. La CAF s’attendait à ce que la Fédération marocaine soit incapable de surmonter l’obstacle et de résorber les conditions imposées. Or, ce n’est pas le cas .La conséquence : C’est la CAF qui se trouve en difficulté avec un problème de sa propre création et qu’elle devra gérer et résoudre. La CAF a fait preuve de mauvaise foi flagrante !
-Le problème des visas :
- Le club estime que compte tenu du préavis de seulement 3 jours pour jouer le match, le club estime qu’il est difficile pour le staff administratif d’obtenir les visas auprès de l’ambassade de l’Egypte car il faudra au moins sept jours ouvrables pour les obtenir.
La non-disponibilité des vols :
-L’autre obstacle avancé par Kaizer Chiefs est la non- disponibilité des vols en raison de la rareté des compagnies aériennes opérationnelles en cette période de crise sanitaires.
L’impact négatif sur les échéances à venir :
-Ces difficultés logistiques et administratives impacteront négativement la préparation des deux prochains matchs du club en Ligue des Champions prévus le 23 février et le 5 mars. De plus, le club sudafricain préfère dans l’immédiat se focaliser sur son match de ce mercredi 17 février dans face au AmaZulu dans le cadre du championnat sud-africain.
Une date au delà du 4 mars :
-Dans son communiqué, le club sud africain invite la CAF a revoir la programmation du match au à fixer une date au delà du 4 mars ; une date qui sera convenable et appropriée à toutes les parties concernées.
La CAF responsable avec préméditation !
-La décision prise par la CAF ne pouvait qu’aboutir cette situation. La décision de laisser à la partie marocaine uniquement 24heures pour trouver une sortie à la crise était une sorte nœud difficile à dénouer. C’était voulu et prémédité. La CAF s’attendait à ce que la Fédération marocaine soit incapable de surmonter l’obstacle et de résorber les conditions imposées. Or, ce n’est pas le cas .La conséquence : C’est la CAF qui se trouve en difficulté avec un problème de sa propre création et qu’elle devra gérer et résoudre. La CAF a fait preuve de mauvaise foi flagrante !