Lors de cette soirée, organisée par l'ambassade du Royaume en Italie, le jeune pianiste a séduit le public en interprétant brillamment les plus belles compositions de musiciens arabes de renommée internationale, faisant preuve d’une maîtrise remarquable de son instrument.
Cette cérémonie musicale, qui s'inscrit dans le cadre d’un partenariat '’solide et ambitieux’’ avec la Fondation Med-Or et l’université Luiss, commémore la journée mondiale de la Musique, célébrée le 21 juin, et constitue une reprise des activités culturelles de l’ambassade après deux ans d’absence en raison du Covid-19, a affirmé, à cette occasion, l’ambassadeur du Maroc à Rome, Youssef Balla.
"Notre pianiste virtuose a pu jusqu’à maintenant répertorier plus de 100 compositeurs de musique classique dans différents pays arabes, qui composent dans un style occidental ponctué par des rythmes et des mélodies orientaux", a souligné le diplomate, relevant que "la diversité des expressions artistiques au Royaume, creuset de cultures diverses et carrefour de civilisations, témoigne de sa pluralité".
En l’espace d'une heure et demie, le pianiste a joué, avec des doigts expérimentés, son répertoire ‘’arabesques’’ en alternant des morceaux de célèbres compositeurs comme le syrien Diae Soukari (1938-2010), le palestinien Salvador Arnita (1914-1985), le libanais zad Moultaqa, l’algérien Salim Dada, l’égyptien Mohammed Fairouz et le marocain Nabil Benabdeljalil.
Vivement applaudi, l’artiste marocain a ainsi emporté l’assistance, marquée par la présence de plusieurs personnalités diplomatiques et culturelles, vers un monde gouverné par les douces sensations et une grande émotion.
A travers ce récital, le public a également découvert un répertoire unique, tissant des liens entre les traditions musicales arabes et occidentales, en portant des valeurs fondamentales de l’art, telles que l’harmonie et la paix.
Natif de Rabat, Marouan Benabdellah, qui s’est initié au piano à l’âge de 4 ans avec sa mère, a quitté le Maroc à 13 ans pour poursuivre ses études musicales en Hongrie au Conservatoire Béla Bartók puis à l’Académie Franz Liszt de Budapest.
(MAP)
Cette cérémonie musicale, qui s'inscrit dans le cadre d’un partenariat '’solide et ambitieux’’ avec la Fondation Med-Or et l’université Luiss, commémore la journée mondiale de la Musique, célébrée le 21 juin, et constitue une reprise des activités culturelles de l’ambassade après deux ans d’absence en raison du Covid-19, a affirmé, à cette occasion, l’ambassadeur du Maroc à Rome, Youssef Balla.
"Notre pianiste virtuose a pu jusqu’à maintenant répertorier plus de 100 compositeurs de musique classique dans différents pays arabes, qui composent dans un style occidental ponctué par des rythmes et des mélodies orientaux", a souligné le diplomate, relevant que "la diversité des expressions artistiques au Royaume, creuset de cultures diverses et carrefour de civilisations, témoigne de sa pluralité".
En l’espace d'une heure et demie, le pianiste a joué, avec des doigts expérimentés, son répertoire ‘’arabesques’’ en alternant des morceaux de célèbres compositeurs comme le syrien Diae Soukari (1938-2010), le palestinien Salvador Arnita (1914-1985), le libanais zad Moultaqa, l’algérien Salim Dada, l’égyptien Mohammed Fairouz et le marocain Nabil Benabdeljalil.
Vivement applaudi, l’artiste marocain a ainsi emporté l’assistance, marquée par la présence de plusieurs personnalités diplomatiques et culturelles, vers un monde gouverné par les douces sensations et une grande émotion.
A travers ce récital, le public a également découvert un répertoire unique, tissant des liens entre les traditions musicales arabes et occidentales, en portant des valeurs fondamentales de l’art, telles que l’harmonie et la paix.
Natif de Rabat, Marouan Benabdellah, qui s’est initié au piano à l’âge de 4 ans avec sa mère, a quitté le Maroc à 13 ans pour poursuivre ses études musicales en Hongrie au Conservatoire Béla Bartók puis à l’Académie Franz Liszt de Budapest.
(MAP)