Le Ministère de la Santé et de la Protection Sociale a levé le voile sur les dépenses colossales engagées pour la fourniture de médicaments essentiels destinés au traitement des maladies chroniques au cours de l'année 2023, au moment où la disponibilité et l'accessibilité de ces médicaments demeurent au centre du débat.
Selon les déclarations du ministre de la Santé et de la Protection Sociale, Khalid Ait Taleb, les dépenses totales ont atteint un chiffre vertigineux, dépassant les 353 millions de dirhams (35 milliards de centimes).
Dans une réponse écrite à une question parlementaire, le ministre Ait Taleb a souligné l'engagement ferme de son ministère à approvisionner tous les établissements de santé et les hôpitaux à travers le pays en médicaments essentiels. Cela inclut notamment les traitements pour des affections telles que le diabète, l'épilepsie, les maladies mentales, et l'hypertension artérielle.
Dans les détails, les médicaments destinés au traitement de l'hypertension artérielle représentent la plus grande part des dépenses, totalisant plus de 22 milliards de centimes (220.015.159,81 dirhams). Le diabète suit de près, avec des dépenses d'achat s'élevant à 8 milliards et 600 millions de centimes (86.179.715,63 dirhams). Les traitements pour les maladies mentales ont engendré des coûts de l'ordre de trois milliards et 736 millions de centimes (37.366.616,22 dirhams), tandis que ceux pour l'épilepsie s'élèvent à près de 940 millions de centimes (9.392.043,30 dirhams).
Face à ces défis financiers et logistiques, le Ministère de la Santé et de la Protection Sociale affirme avoir mis en place toute une série de mesures pour garantir la disponibilité continue des médicaments essentiels. Cela comprend la promotion de l'enregistrement de nouveaux médicaments génériques, la surveillance étroite des niveaux de stock mensuel, et l'imposition de normes strictes aux entreprises pharmaceutiques locales.
Le Ministre Ait Taleb a insisté sur la poursuite des efforts visant à renforcer la souveraineté pharmaceutique du pays. Cela implique l'identification de médicaments stratégiques, la mise en place de rappels périodiques sur la gestion des stocks, et le renforcement des capacités de l'Observatoire national pour la fourniture de médicaments et de produits de santé.
Selon les déclarations du ministre de la Santé et de la Protection Sociale, Khalid Ait Taleb, les dépenses totales ont atteint un chiffre vertigineux, dépassant les 353 millions de dirhams (35 milliards de centimes).
Dans une réponse écrite à une question parlementaire, le ministre Ait Taleb a souligné l'engagement ferme de son ministère à approvisionner tous les établissements de santé et les hôpitaux à travers le pays en médicaments essentiels. Cela inclut notamment les traitements pour des affections telles que le diabète, l'épilepsie, les maladies mentales, et l'hypertension artérielle.
Dans les détails, les médicaments destinés au traitement de l'hypertension artérielle représentent la plus grande part des dépenses, totalisant plus de 22 milliards de centimes (220.015.159,81 dirhams). Le diabète suit de près, avec des dépenses d'achat s'élevant à 8 milliards et 600 millions de centimes (86.179.715,63 dirhams). Les traitements pour les maladies mentales ont engendré des coûts de l'ordre de trois milliards et 736 millions de centimes (37.366.616,22 dirhams), tandis que ceux pour l'épilepsie s'élèvent à près de 940 millions de centimes (9.392.043,30 dirhams).
Face à ces défis financiers et logistiques, le Ministère de la Santé et de la Protection Sociale affirme avoir mis en place toute une série de mesures pour garantir la disponibilité continue des médicaments essentiels. Cela comprend la promotion de l'enregistrement de nouveaux médicaments génériques, la surveillance étroite des niveaux de stock mensuel, et l'imposition de normes strictes aux entreprises pharmaceutiques locales.
Le Ministre Ait Taleb a insisté sur la poursuite des efforts visant à renforcer la souveraineté pharmaceutique du pays. Cela implique l'identification de médicaments stratégiques, la mise en place de rappels périodiques sur la gestion des stocks, et le renforcement des capacités de l'Observatoire national pour la fourniture de médicaments et de produits de santé.