Déjà, une large partie des ultras et des supporters wydadis ne veulent plus qu’ils défendent leurs couleurs.
La campagne anti-Ennahiri s’intensifie sur les réseaux sociaux. En plus de ce qu’il demande financièrement jugé « trop exagéré », les Wydadis lui reprochent la manière et le timing qu’il a choisis pour négocier le prolongement de son contrat. Il aurait pu aller jusqu’au bout de son contrat actuel prolongé légalement jusqu’à la fin de septembre tout en défendant « raisonnablement » ses droits. Les Wydadis qualifient son attitude de trahison vis-à-vis du club qui l’a mis au-devant de l’actualité en lui changeant son statut de joueur anonyme. Pour eux, Ennahiri a choisi le mauvais timing : la veille de la phase finale de la Ligue des Champions.
Juan Carlos Garidou, lui, a déjà opté pour le plan B : El Aâlmoud et Gadarine sont là pour remplacer le « mutin » Ennahiri. Les ultras et les supporters wydadis plébiscitent le choix du coach. Ils ne veulent plus entendre parler d’Ennahiri qui veut prendre en otage les intérêts du Wydad pour satisfaire les siens.
La campagne anti-Ennahiri s’intensifie sur les réseaux sociaux. En plus de ce qu’il demande financièrement jugé « trop exagéré », les Wydadis lui reprochent la manière et le timing qu’il a choisis pour négocier le prolongement de son contrat. Il aurait pu aller jusqu’au bout de son contrat actuel prolongé légalement jusqu’à la fin de septembre tout en défendant « raisonnablement » ses droits. Les Wydadis qualifient son attitude de trahison vis-à-vis du club qui l’a mis au-devant de l’actualité en lui changeant son statut de joueur anonyme. Pour eux, Ennahiri a choisi le mauvais timing : la veille de la phase finale de la Ligue des Champions.
Juan Carlos Garidou, lui, a déjà opté pour le plan B : El Aâlmoud et Gadarine sont là pour remplacer le « mutin » Ennahiri. Les ultras et les supporters wydadis plébiscitent le choix du coach. Ils ne veulent plus entendre parler d’Ennahiri qui veut prendre en otage les intérêts du Wydad pour satisfaire les siens.