Le «Power to X» (ptX) consiste à transformer l’électricité en une autre énergie, telle que la chaleur ou le gaz. L’électricité sans carbone participe ainsi à la décarbonation des autres énergies. Le Maroc est actuellement en train d’élaborer une feuille de route nationale pour développer ce genre de technologies. Le dernier RDV en date s’est déroulé lundi dernier lors d’une réunion présidée par le ministre de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement, Aziz Rabbah.
Dans le contexte actuel de confinement, la réunion s’est tenue par visioconférence et a été consacrée essentiellement à la présentation des premiers résultats de l’étude pour l’élaboration de la feuille de route nationale pour les technologies PtX. L’étude a présenté les applications pratiques de cette technologie au niveau du Maroc, notamment la production de l’hydrogène, le stockage de l’énergie, la mobilité électrique et la production de molécules vertes, en particulier l’ammoniac et les carburants synthétiques.
« Le projet de feuille de route est élaboré sur la base d’une analyse fine du potentiel de développement du PtX dans différents secteurs, notamment l’industrie, le transport, le résidentiel, le stockage de l’énergie et les fertilisants phosphatés » indique un communiqué du ministère de l’Énergie. Les résultats intermédiaires confirment l’opportunité que représente cette filière pour le Royaume, à travers son impact socio-économique et environnemental positif.
À court terme, le projet de feuille de route propose des actions visant essentiellement à réduire les coûts tout au long de la chaine de valeur, à mettre en place un cluster industriel marocain et un plan directeur d’infrastructure. Elles visent également à assurer le transfert de technologie, le renforcement des capacités et du contenu local, ainsi que la création des conditions favorables pour l’exportation des produits PtX. À moyen terme, les actions porteront essentiellement sur le développement d’un plan de stockage pour le secteur de l’électricité et la mise en place d’un cadre réglementaire approprié pour l’utilisation du PtX dans les transports. À long terme, ces actions viseront le développement d’un cadre réglementaire et commercial pour étendre les technologies PtX à la production de la chaleur.
Cette réunion a vu la participation d’une quarantaine de responsables du ministère de l’Économie, du ministère de l’Industrie, du ministère de l’Équipement ainsi que des responsables de l’ONEE, de MASEN, de l’IRESEN, de l’OHNYM et de l’OCP, de la CGEM et de la Fédération de l’Énergie.
Dans le contexte actuel de confinement, la réunion s’est tenue par visioconférence et a été consacrée essentiellement à la présentation des premiers résultats de l’étude pour l’élaboration de la feuille de route nationale pour les technologies PtX. L’étude a présenté les applications pratiques de cette technologie au niveau du Maroc, notamment la production de l’hydrogène, le stockage de l’énergie, la mobilité électrique et la production de molécules vertes, en particulier l’ammoniac et les carburants synthétiques.
« Le projet de feuille de route est élaboré sur la base d’une analyse fine du potentiel de développement du PtX dans différents secteurs, notamment l’industrie, le transport, le résidentiel, le stockage de l’énergie et les fertilisants phosphatés » indique un communiqué du ministère de l’Énergie. Les résultats intermédiaires confirment l’opportunité que représente cette filière pour le Royaume, à travers son impact socio-économique et environnemental positif.
À court terme, le projet de feuille de route propose des actions visant essentiellement à réduire les coûts tout au long de la chaine de valeur, à mettre en place un cluster industriel marocain et un plan directeur d’infrastructure. Elles visent également à assurer le transfert de technologie, le renforcement des capacités et du contenu local, ainsi que la création des conditions favorables pour l’exportation des produits PtX. À moyen terme, les actions porteront essentiellement sur le développement d’un plan de stockage pour le secteur de l’électricité et la mise en place d’un cadre réglementaire approprié pour l’utilisation du PtX dans les transports. À long terme, ces actions viseront le développement d’un cadre réglementaire et commercial pour étendre les technologies PtX à la production de la chaleur.
Cette réunion a vu la participation d’une quarantaine de responsables du ministère de l’Économie, du ministère de l’Industrie, du ministère de l’Équipement ainsi que des responsables de l’ONEE, de MASEN, de l’IRESEN, de l’OHNYM et de l’OCP, de la CGEM et de la Fédération de l’Énergie.