Le mouvement de résistance libanais Hezbollah a affirmé avoir abattu un drone israélien qui avait violé l’espace aérien du pays. Le drone a été abattu près de la ville frontalière d’Aita alShaab, a indiqué le Hezbollah dans un communiqué.
Il a également déclaré que le drone était actuellement en possession du groupe de résistance.
L’armée israélienne a par la suite confirmé la capture du drone était tombé sur le territoire libanais, mais a ajouté qu’il n’y avait aucune inquiétude quant à la fuite d’informations.
L’interception du drone israélien est intervenu un jour après que le secrétaire général adjoint du Hezbollah, Cheikh Naim Qassem, a déclaré que le mouvement de résistance libanais ne permettrait ni à Israël ni à ses sponsors de lancer une agression contre le Liban, avertissant le régime de Tel-Aviv et ses alliés d’un prix élevé.
« Quiconque attaque le Liban en payera le prix »
«Nous ne donnerons ni à Israël ni à quiconque le reconnaît la possibilité de lancer une attaque sans en payer le prix. Nous ne capitulerons pas devant ceux qui souhaitent nous voler notre honneur et notre victoire ... Nous voulons protéger le Liban, sa souveraineté et son indépendance… ».
Le gouvernement libanais, le Hezbollah et la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) ont condamné à plusieurs reprises les survols d’Israël, affirmant qu’ils sont en violation flagrante de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies et de la souveraineté du Liban.
La résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui a négocié un cessez-le-feu dans la guerre d’agression lancée par Israël contre le Liban en 2006, appelle Tel-Aviv à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale du Liban.
En 2009, le Liban a déposé une plainte auprès de l’ONU, présentant plus de 7 000 documents relatifs aux violations israéliennes du territoire libanais.
En septembre 2019, le Hezbollah s’est engagé à abattre des drones israéliens survolant le Liban à la suite d’un incident survenu un mois plus tôt, lorsque deux drones bourrés d’explosifs avaient visé le bastion du Hezbollah au sud de Beyrouth.
L’interception du drone israélien intervient à trois moins d’une semaine du renouvellement du mandat de la FINUL d’ici le 26 août, et qui constitue un autre sujet de discorde entre Beyrouth, Tel-Aviv et Washington.
Le Liban souhaite un renouvellement du mandat de la FINUL sans modification de ses prérogatives, les autorités israéliennes, soutenues par les EtatsUnis souhaiteraient que les forces onusiennes stationnées depuis 1978 au sud du Liban puissent perquisitionner des propriétés privées sans en avertir d’avance les autorités locales.
Il a également déclaré que le drone était actuellement en possession du groupe de résistance.
L’armée israélienne a par la suite confirmé la capture du drone était tombé sur le territoire libanais, mais a ajouté qu’il n’y avait aucune inquiétude quant à la fuite d’informations.
L’interception du drone israélien est intervenu un jour après que le secrétaire général adjoint du Hezbollah, Cheikh Naim Qassem, a déclaré que le mouvement de résistance libanais ne permettrait ni à Israël ni à ses sponsors de lancer une agression contre le Liban, avertissant le régime de Tel-Aviv et ses alliés d’un prix élevé.
« Quiconque attaque le Liban en payera le prix »
«Nous ne donnerons ni à Israël ni à quiconque le reconnaît la possibilité de lancer une attaque sans en payer le prix. Nous ne capitulerons pas devant ceux qui souhaitent nous voler notre honneur et notre victoire ... Nous voulons protéger le Liban, sa souveraineté et son indépendance… ».
Le gouvernement libanais, le Hezbollah et la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) ont condamné à plusieurs reprises les survols d’Israël, affirmant qu’ils sont en violation flagrante de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies et de la souveraineté du Liban.
La résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui a négocié un cessez-le-feu dans la guerre d’agression lancée par Israël contre le Liban en 2006, appelle Tel-Aviv à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale du Liban.
En 2009, le Liban a déposé une plainte auprès de l’ONU, présentant plus de 7 000 documents relatifs aux violations israéliennes du territoire libanais.
En septembre 2019, le Hezbollah s’est engagé à abattre des drones israéliens survolant le Liban à la suite d’un incident survenu un mois plus tôt, lorsque deux drones bourrés d’explosifs avaient visé le bastion du Hezbollah au sud de Beyrouth.
L’interception du drone israélien intervient à trois moins d’une semaine du renouvellement du mandat de la FINUL d’ici le 26 août, et qui constitue un autre sujet de discorde entre Beyrouth, Tel-Aviv et Washington.
Le Liban souhaite un renouvellement du mandat de la FINUL sans modification de ses prérogatives, les autorités israéliennes, soutenues par les EtatsUnis souhaiteraient que les forces onusiennes stationnées depuis 1978 au sud du Liban puissent perquisitionner des propriétés privées sans en avertir d’avance les autorités locales.