Des sources ont déclaré qu'il avait été décidé de poursuivre les professeurs contractants, qui avaient été arrêtés lors de leur manifestation, avant-hier, mercredi, pour des accusations de rassemblement non autorisé de personnes non autorisées, de violation de l'état d'urgence sanitaire, d'atteinte aux hommes des forces publiques. Le Tribunal de première instance de Rabat a fixé, le 27 mai prochain, la date de leurs premières auditions.
Les professeurs qui ont comparu aujourd'hui devant le parquet étaient au nombre de 13. Ils ont été arrêtés avant-hier, tandis qu'hier, le premier groupe des 20 professeurs détenus ont inculpé des accusations similaires.
Un certain nombre d'avocats et de juristes ont critiqué ce qu'ils qualifiaient de «conditions dégradantes» auxquelles les professeurs avaient été soumis pendant la période de leur détention.
Les professeurs «sous contrat» avaient manifesté pendant trois jours consécutifs dans la capitale, Rabat, défiant la décision des autorités locales d’empêcher leur manifestation dans le centre-ville.
Les professeurs qui ont comparu aujourd'hui devant le parquet étaient au nombre de 13. Ils ont été arrêtés avant-hier, tandis qu'hier, le premier groupe des 20 professeurs détenus ont inculpé des accusations similaires.
Un certain nombre d'avocats et de juristes ont critiqué ce qu'ils qualifiaient de «conditions dégradantes» auxquelles les professeurs avaient été soumis pendant la période de leur détention.
Les professeurs «sous contrat» avaient manifesté pendant trois jours consécutifs dans la capitale, Rabat, défiant la décision des autorités locales d’empêcher leur manifestation dans le centre-ville.