Suarez, l’auteur de l’unique but de la rencontre.
La «MSG» est de retour: Lionel Messi, Luis Suarez et Antoine Griezmann ont à nouveau combiné mercredi lors de la 35e journée de Liga pour permettre au Barça de l’emporter 1-0 dans le derby contre l’Espanyol, condamné à la relégation, et revenir ainsi à un point du Real Madrid, qui reçoit Alavés vendredi.
Combinaison magique
Talonnade de Griezmann, frappe contrée de Messi et but de Suarez : avec cette combinaison magique trois jours après avoir ravivé la connexion de leur trio d’attaque, les trois stars offensives du Barça ont allumé la seule étincelle d’un derby médiocre sur le but de l’Uruguayen (56e) et ont scellé la relégation de l’Espanyol vers la D2.
Paradoxalement, c’est l’exclusion du prodige blaugrana Ansu Fati (17 ans), suivie de celle de Pol Lozano côté Espanyol, qui a libéré la «MSG», profitant des espaces libérés dans l’épais rideau de l’Espanyol pour ouvrir le score.
Entré à la mi-temps à la place de Nelson Semedo, Fati a été renvoyé sur le banc par l’arbitre quatre minutes plus tard pour un tacle aérien sur le tibia de Fernando Calero (49e), avant que Pol Lozano ne le suive pour un geste similaire sur Gerard Piqué à la 53e.
Un Barça toujours malade
Après le superbe but d’Antoine Griezmann dimanche dans le festival à Villarreal (4-1), le champion du monde français a dû céder sa place à Arturo Vidal dès la 71e minute mercredi, mais a eu le temps d’endosser le rôle de facilitateur pour le 15e but en 25 matches de Liga de l’avantcentre uruguayen Luis Suarez.
Tout comme le sextuple Ballon d’Or Lionel Messi, qui n’a marqué qu’une seule fois lors des six derniers matches (contre l’Atlético le 30 juin, 2-2), mais qui compile 20 passes décisives en Liga cette saison.
Mais ni le Français, ni l’Argentin, ni l’Uruguayen, devenu le 3e meilleur buteur de l’Histoire du Barça (195 buts en 277 matches) devant les 194 buts de la légende Laszlo Kubala, n’ont réussi à cacher les symptômes latents d’un Barça toujours malade. Face à la lanterne rouge de Liga, désormais condamnée à la descente en Segunda pour la première fois depuis 1994, les coéquipiers de la superstar argentine ont moins brillé que contre Villarreal trois jours plus tôt. Pour le Barça, il s’agit d’une victoire nécessaire dans la course au titre : les Catalans, provisoirement à un point du leader merengue, ont toujours dans l’esprit de conserver leur couronne en Liga, malgré l’avance prise par la «Maison blanche» de Zidane, qui reçoit Alavés vendredi pour faire un pas de plus vers le titre.
Combinaison magique
Talonnade de Griezmann, frappe contrée de Messi et but de Suarez : avec cette combinaison magique trois jours après avoir ravivé la connexion de leur trio d’attaque, les trois stars offensives du Barça ont allumé la seule étincelle d’un derby médiocre sur le but de l’Uruguayen (56e) et ont scellé la relégation de l’Espanyol vers la D2.
Paradoxalement, c’est l’exclusion du prodige blaugrana Ansu Fati (17 ans), suivie de celle de Pol Lozano côté Espanyol, qui a libéré la «MSG», profitant des espaces libérés dans l’épais rideau de l’Espanyol pour ouvrir le score.
Entré à la mi-temps à la place de Nelson Semedo, Fati a été renvoyé sur le banc par l’arbitre quatre minutes plus tard pour un tacle aérien sur le tibia de Fernando Calero (49e), avant que Pol Lozano ne le suive pour un geste similaire sur Gerard Piqué à la 53e.
Un Barça toujours malade
Après le superbe but d’Antoine Griezmann dimanche dans le festival à Villarreal (4-1), le champion du monde français a dû céder sa place à Arturo Vidal dès la 71e minute mercredi, mais a eu le temps d’endosser le rôle de facilitateur pour le 15e but en 25 matches de Liga de l’avantcentre uruguayen Luis Suarez.
Tout comme le sextuple Ballon d’Or Lionel Messi, qui n’a marqué qu’une seule fois lors des six derniers matches (contre l’Atlético le 30 juin, 2-2), mais qui compile 20 passes décisives en Liga cette saison.
Mais ni le Français, ni l’Argentin, ni l’Uruguayen, devenu le 3e meilleur buteur de l’Histoire du Barça (195 buts en 277 matches) devant les 194 buts de la légende Laszlo Kubala, n’ont réussi à cacher les symptômes latents d’un Barça toujours malade. Face à la lanterne rouge de Liga, désormais condamnée à la descente en Segunda pour la première fois depuis 1994, les coéquipiers de la superstar argentine ont moins brillé que contre Villarreal trois jours plus tôt. Pour le Barça, il s’agit d’une victoire nécessaire dans la course au titre : les Catalans, provisoirement à un point du leader merengue, ont toujours dans l’esprit de conserver leur couronne en Liga, malgré l’avance prise par la «Maison blanche» de Zidane, qui reçoit Alavés vendredi pour faire un pas de plus vers le titre.