L’Inter Milan, grâce à son duo offensif Lautaro-Lukaku en feu, s’est fait plaisir face au Shakhtar Donetsk lundi en demi-finale de la Ligue Europa (5-0) pour décrocher sa première finale européenne depuis dix ans, où le club italien défiera les spécialistes de la C3 du FC Séville.
Des Milanais efficaces
Paradoxalement dépossédés du ballon une bonne partie du match par des Ukrainiens joueurs mais inoffensifs, les Milanais se sont montrés redoutablement efficaces devant le but, avec à la clé des doublés pour Lautaro Martinez (19e et 74e) et Lukaku (78e et 84e) et une tête sur corner de D’Ambrosio (64e), dans le stade sans public de Düsseldorf. Le FC Séville, avec ses cinq Ligues Europa glanées en autant de finales depuis 2006, pourra compter en finale, vendredi à Cologne, sur la force de l’habitude.
Mais l’Inter pourra à coup sûr s’appuyer sur l’état d’esprit impeccable et la confiance retrouvée affichés en Allemagne pour espérer enfin dépoussiérer son armoire à trophées, où la Ligue des champions de 2010 ne masque pas les récentes années blanches (depuis une Coupe d’Italie en 2011).
A défaut de la Ligue des champions, qui semble davantage taillée pour ses ambitions et son effectif, Antonio Conte se contentera volontiers d’une Ligue Europa pour ouvrir son palmarès européen en tant qu’entraîneur, après avoir collectionné titres et coupes nationaux avec la Juventus puis Chelsea.
Un duo saignant
Vendredi, son atout numéro 1 restera plus que jamais son duo d’attaquants Lautaro-Lukaku, toujours aussi saignant dans les joutes continentales. Le Belge, avec ses deux nouveaux buts en fin de match, compte désormais 33 buts toutes compétitions confondues et a pesé comme toujours sur l’arrière-garde ukrainienne.
Son complice argentin, lui, a marqué dès sa première occasion, la toute première d’un match qui a démarré en pente douce pour donner l’avantage aux Italiens. D’une tête rageuse à la réception d’un centre de Barella, qui a intercepté une relance écrasée du gardien ukrainien Pyatov avant de s’échapper côté droit.
Après la tête, c’est du droit que le fougueux Argentin a signé le troisième but de l’Inter à l’entrée du dernier quart d’heure, après que d’Ambrosio avait mis l’Inter à l’abri peu après l’heure de jeu.
Dur pour le Shakhtar
Résultat impressionnant mais sans doute un peu dur pour le Shakhtar qui, avec son armada brésilienne, a monopolisé le ballon durant la première période. Mais sans vraiment réussir à s’approcher de la cage du gardien de l’Inter Handanovic, guère inquiété que sur une frappe du jeune Brésilien Marcos Antonio qui passait juste au-dessus de la barre (43e).
Il faudra d’ailleurs attendre l’heure de jeu pour les voir enfin solliciter les gants du gardien slovène, sur une tête de Junior Moraes (62e). Une occasion qui sera finalement la dernière pour des Ukrainiens ensuite totalement balayés pendant la dernière demi-heure.
De quoi ravir le propriétaire chinois de l’Inter, qui a fait son retour en Europe après plusieurs mois en Asie pour cause de crise de coronavirus, afin d’assister à cette demi-finale.
Des Milanais efficaces
Paradoxalement dépossédés du ballon une bonne partie du match par des Ukrainiens joueurs mais inoffensifs, les Milanais se sont montrés redoutablement efficaces devant le but, avec à la clé des doublés pour Lautaro Martinez (19e et 74e) et Lukaku (78e et 84e) et une tête sur corner de D’Ambrosio (64e), dans le stade sans public de Düsseldorf. Le FC Séville, avec ses cinq Ligues Europa glanées en autant de finales depuis 2006, pourra compter en finale, vendredi à Cologne, sur la force de l’habitude.
Mais l’Inter pourra à coup sûr s’appuyer sur l’état d’esprit impeccable et la confiance retrouvée affichés en Allemagne pour espérer enfin dépoussiérer son armoire à trophées, où la Ligue des champions de 2010 ne masque pas les récentes années blanches (depuis une Coupe d’Italie en 2011).
A défaut de la Ligue des champions, qui semble davantage taillée pour ses ambitions et son effectif, Antonio Conte se contentera volontiers d’une Ligue Europa pour ouvrir son palmarès européen en tant qu’entraîneur, après avoir collectionné titres et coupes nationaux avec la Juventus puis Chelsea.
Un duo saignant
Vendredi, son atout numéro 1 restera plus que jamais son duo d’attaquants Lautaro-Lukaku, toujours aussi saignant dans les joutes continentales. Le Belge, avec ses deux nouveaux buts en fin de match, compte désormais 33 buts toutes compétitions confondues et a pesé comme toujours sur l’arrière-garde ukrainienne.
Son complice argentin, lui, a marqué dès sa première occasion, la toute première d’un match qui a démarré en pente douce pour donner l’avantage aux Italiens. D’une tête rageuse à la réception d’un centre de Barella, qui a intercepté une relance écrasée du gardien ukrainien Pyatov avant de s’échapper côté droit.
Après la tête, c’est du droit que le fougueux Argentin a signé le troisième but de l’Inter à l’entrée du dernier quart d’heure, après que d’Ambrosio avait mis l’Inter à l’abri peu après l’heure de jeu.
Dur pour le Shakhtar
Résultat impressionnant mais sans doute un peu dur pour le Shakhtar qui, avec son armada brésilienne, a monopolisé le ballon durant la première période. Mais sans vraiment réussir à s’approcher de la cage du gardien de l’Inter Handanovic, guère inquiété que sur une frappe du jeune Brésilien Marcos Antonio qui passait juste au-dessus de la barre (43e).
Il faudra d’ailleurs attendre l’heure de jeu pour les voir enfin solliciter les gants du gardien slovène, sur une tête de Junior Moraes (62e). Une occasion qui sera finalement la dernière pour des Ukrainiens ensuite totalement balayés pendant la dernière demi-heure.
De quoi ravir le propriétaire chinois de l’Inter, qui a fait son retour en Europe après plusieurs mois en Asie pour cause de crise de coronavirus, afin d’assister à cette demi-finale.