Les représentants du Maroc dans cette Ligue des Champions version 2020 en l’occurrence le WAC et le RCA devront affronter ce week-end, leurs homologues égyptiens à savoir Al Ahly et le Zamālek dans un match « retour » qui promet des étincelles. La rencontre ZamālekRaja a été reportée par la CAF à une date ultérieure à cause de l’indisponibilité de 8 joueurs rajaouis touchés par la Covid-19.
Un impardonnable premier acte pour le WAC
Au match « aller » joué au Complexe sportif Mohammed V de Casablanca, Wydad et Raja ont été défaits, respectivement, par Al Ahly (0-2) et Zamālek (0- 1). Si les Rouges étaient défaits c’est à cause d’un système de jeu désuet mis sur pied par un coach Miguel Angel Gamondi qui a voulu bien faire en chamboulant la formation type du Wydad. Cette formation qui était à deux doigts d’être championne du Maroc. Nul n’a compris ce qui se passait dans la tête de l’Argentin en confiant le milieu de la défense des Rouges à un garçon, Yahya Jabrane, qui a excellé, depuis son arrivée au WAC, dans le rôle de milieu de terrain. Alors que sur le banc de touche, il avait une sentinelle de métier en la personne Cheikh Comara, rempart, difficilement, franchissable.
Cette formation « cabossée » a passé un sale quart d’heure devant un Al Ahly en verve et qui a senti qu’elle avait devant elle un WAC complètement fébrile. Il ne fallait pas attendre longtemps pour se rendre compte de l’énormité des erreurs commises par Gamondi dont une impardonnable, celle d’avoir lancé dans la bataille le vieux Brahim Nekkach. Nous n’avons rien contre le capitaine des Rouges mais le poids des ans est impitoyable.
Prêts pour le combat !
Le WAC affronte Al Ahly avec un moral sapé. Mais les Rouges nous ont toujours habitués aux exploits. Ils sont prêts pour le combat. Ils sont prêts pour arracher la victoire du cœur du Caire. Certes la mission est ardue mais pas impossible. Les Casablancais n’ont rien à perdre ce qui les rend en oreille plus dangereux.
L’autre demi-finale où le Zamālek a usurpé la victoire grâce à l’arbitrage, totalement, partial du Camerounais Sidi Alioum que les Rajaouis ne sont pas prêts d’oublier. Un arbitre vendu, sans conscience qui a massacré le Raja au vu et au su de tout le Continent africain. Les Verts marocains dont l’effectif a été décimé par les blessures et les éreintantes rencontres de fin de championnat ont livré un superbe match et sans le coup de pouce de cet arbitre véreux le résultat aurait été tout autre. De l’avis même de certains médias égyptiens affirment que le directeur de jeu camerounais a favorisé le Zamālek. Cependant il ne faut pas perdre de vue qu’il y a, tout de même, une justice divine.
En tous les cas, Wydad et Raja ne sont pas prêts à se laisser faire. Faisons leur confiance gageons qu’ils ne nous décevront pas.
Un impardonnable premier acte pour le WAC
Au match « aller » joué au Complexe sportif Mohammed V de Casablanca, Wydad et Raja ont été défaits, respectivement, par Al Ahly (0-2) et Zamālek (0- 1). Si les Rouges étaient défaits c’est à cause d’un système de jeu désuet mis sur pied par un coach Miguel Angel Gamondi qui a voulu bien faire en chamboulant la formation type du Wydad. Cette formation qui était à deux doigts d’être championne du Maroc. Nul n’a compris ce qui se passait dans la tête de l’Argentin en confiant le milieu de la défense des Rouges à un garçon, Yahya Jabrane, qui a excellé, depuis son arrivée au WAC, dans le rôle de milieu de terrain. Alors que sur le banc de touche, il avait une sentinelle de métier en la personne Cheikh Comara, rempart, difficilement, franchissable.
Cette formation « cabossée » a passé un sale quart d’heure devant un Al Ahly en verve et qui a senti qu’elle avait devant elle un WAC complètement fébrile. Il ne fallait pas attendre longtemps pour se rendre compte de l’énormité des erreurs commises par Gamondi dont une impardonnable, celle d’avoir lancé dans la bataille le vieux Brahim Nekkach. Nous n’avons rien contre le capitaine des Rouges mais le poids des ans est impitoyable.
Prêts pour le combat !
Le WAC affronte Al Ahly avec un moral sapé. Mais les Rouges nous ont toujours habitués aux exploits. Ils sont prêts pour le combat. Ils sont prêts pour arracher la victoire du cœur du Caire. Certes la mission est ardue mais pas impossible. Les Casablancais n’ont rien à perdre ce qui les rend en oreille plus dangereux.
L’autre demi-finale où le Zamālek a usurpé la victoire grâce à l’arbitrage, totalement, partial du Camerounais Sidi Alioum que les Rajaouis ne sont pas prêts d’oublier. Un arbitre vendu, sans conscience qui a massacré le Raja au vu et au su de tout le Continent africain. Les Verts marocains dont l’effectif a été décimé par les blessures et les éreintantes rencontres de fin de championnat ont livré un superbe match et sans le coup de pouce de cet arbitre véreux le résultat aurait été tout autre. De l’avis même de certains médias égyptiens affirment que le directeur de jeu camerounais a favorisé le Zamālek. Cependant il ne faut pas perdre de vue qu’il y a, tout de même, une justice divine.
En tous les cas, Wydad et Raja ne sont pas prêts à se laisser faire. Faisons leur confiance gageons qu’ils ne nous décevront pas.
Mohamed MELLOUK